Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 19 mai 2025
Georges était assez froid; la comtesse très-réservée: il fallut passer tout d'abord
En présence de ces vicissitudes législatives et ministérielles de l'Espagne, nous gardions une attitude très-réservée; nous ne voulions ni blesser les droits et la fierté des Espagnols en nous mêlant de leurs affaires intérieures, ni entraver
J'ai rencontré un de ces tyranneaux des mines sibériennes. Au mois d'octobre 1878, je me trouvais au célèbre couvent de Saint-Serge, près de Moscou. Des religieux erraient indolemment dans les cours, sous la robe noire des basiliens. Mon guide, un petit frère lai très-dégourdi, m'indiqua, avec une nuance de respect, un vieux moine accoudé sur la galerie du réfectoire, d'où il émiettait le reste de son pain de seigle aux pigeons qui s'abattaient des bouleaux voisins. «C'est le père un tel, un ancien maître de police en Sibérie.» Je m'approchai du cénobite. Il reconnut un étranger et m'adressa la parole en français. Sa conversation, bien que très-réservée, dénotait une ouverture d'horizon fort rare dans le monde où il vivait. Je laissai tomber le nom d'un des proscrits de décembre 1825, dont l'histoire m'était familière, «L'auriez-vous rencontré en Sibérie? demandai-je
Mot du Jour
D'autres à la Recherche