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J'entre, je monte notre escalier, je revois notre chère petite chambre, jadis si jolie dans son arrangement étrange. À présent, plus rien; des meubles de misère, du désordre et des loques qui traînent. J'aurais mieux fait de ne pas regarder cette profanation pitoyable; le simple coup d'œil que j'ai jeté l

Je ne vois presque pas l'excellent Hyde de Neuville; nous demeurons aux deux barrières opposées de Paris. Il a bien deux vieux chevaux qui le traînent, mais qui ne peuvent suffire

Pauvre Bois de Vincennes avec ses arbres coupés, ses chalets, dont on a enlevé les portes et les fenêtres, un peuple de pauvresses le remplit, armées de hachettes, faisant des ételles qu'elles traînent sur des brouettes et de petits chariots. Et l'on rencontre des rouleuses qui balayent les sentiers perdus, d'une jupe lâche, qu'en remontant,

Elles étaient attachées par deux larges rubans bleus au char de la Vierge, rappelant les colombes qui traînent celui du Printemps. Déj

«Je suis jeune, je suis vierge tendre; mon âge ne passe pas quinze ans, car je n'en ai que quatorze et trois mois, je le jure en mon âme et conscience. «Je ne suis ni bossue, ni boiteuse, et j'ai le plein usage de mes mains; de plus, des cheveux comme des lis, qui traînent par terre

Cardeuc n'aimait probablement pas les comptes qui traînent; car, tout aussitôt, en crispant son énorme poing sur le manche de son couteau, il ajouta: À présent, au Beau-François.

S'ils préfèrent le garder! répéta-t-il après elle. Des gens comme ça, qui traînent dans le pays pour vagabonder et voler de toutes mains, préférer garder un oiseau, quand un propriétaire terrier, un juge de paix, demande

Un écœurant spectacle, que ce Paris avec tous ces mobiles, qui y traînent leur oisiveté et leur dépaysement, semblables

«Les sauvages ne traînent pas de scie avec eux, quand ils vont en expédition. «Au reste, il n'y a dans les bois, autour d'ici, ni Micmacs, ni Abénakis, ni Montagnais. Les trappes que l'oncle Gaspard dit avoir découvertes près de la rivière, Wapwi sait mieux que personne qui les a tendues, puisque c'est lui-même....: «Il faut bien que la marmite de la mère Labarou soit fournie du gibier

En automne, saison des belles pourritures, Quand au soir descendant le couchant est en feu, On voit au bas du ciel d'immenses balayures De jaune, de carmin, de vert pomme et de bleu. Les flots traînent ce grand horizon dans leurs moires, Se vêtent de ses tons électriques et faux, Et sur fond de soleil, des barques toutes noires Vont comme des cercueils d'ébène au fil des eaux.