United States or Montserrat ? Vote for the TOP Country of the Week !


Si cependant il valait la peine de détruire cette impression, il serait important pour moi que l'homme qui fait les délices de ses lecteurs et de ses amis, le poète de tous les cercles et l'idole du sien, me permît en cette occasion et toujours de me souscrire, Son très-dévoué, très-affectionné Et obéissant serviteur, 2 janvier 1814. Chant Premier.

Votre très-dévoué, P. S. Malgré la longueur de cette lettre, je crois nécessaire d'y ajouter un post-scriptum: je tâcherai de le faire court. M. Bowles se défend d'avoir accusé Pope d'une avarice sordide; puis il ajoute: «Si je l'avais fait, je serais enchanté de trouver la preuve que je me suis trompéCette preuve, il peut se donner le plaisir de la trouver dans Spence et ailleurs encore. D'abord, voyons Martha Blount, qui, suivant la remarque charitable de M. Bowles, «jugeait, probablement en sa qualité de légataire, qu'il n'épargnait pas encore assezQuelles que fussent ses pensées, il est certain que ses paroles sont en faveur de Pope. Puis vient l'alderman Barber; pour ce qui le regarde, voyez les anecdotes de Spence. On peut encore citer la folle réponse de Pope

«J'attends donc avec impatience une réponse de Votre Majesté, ou mieux encore, Votre Majesté elle-même. «Je lui envoie un homme sûr, auquel Sa Majesté peut se fier en toute chose, même comme compagnon de route dans le cas Sa Majesté voudrait voyager de nuit et incognito. «J'ai l'honneur d'être, De Votre Majesté, «Le très-humble sujet et très-dévoué serviteur,

»Les mesures les plus hardies sont les plus sûres. »C'est le sincère désir de celui qui se dit, »Chère madame, »Votre très-humble et très-dévoué admirateur et ami, Est-ce tout? demanda le roi. Sire, répondit sir William, il y a un post-scriptum. Voyons le post-scriptum... A moins que...

En me mettant aux pieds de Votre Altesse Royale, j'ai l'honneur d'être avec le plus profond respect, madame, De Votre Altesse Royale, le très-obéissant, très-soumis et très-dévoué serviteur, Signé: LE PRINCE AUGUSTE DE LA TOUR ET TAXIS, Général major

«Votre très-humble, très-reconnaissant et très-dévoué serviteur, «Pierre MARGUERITTEEt, dis-je

Madame Lejay, qui menait son commerce et sa maison, avait fait la mauvaise affaire d'imprimer la Monarchie prussienne de Mirabeau. Elle vint un matin lui dire que Lejay fermait boutique, que ses échéances arrivaient, que le pauvre homme était perdu. Lui seul pouvait les sauver en leur donnant un manuscrit scandaleux, d'un succès certain. C'étaient ses Lettres de Berlin. Elle était jolie, pressante. Mirabeau allégua qu'il ne les avait point. Il avait pris contre lui-même une précaution singulière. Il avait mis le manuscrit dans les mains d'un jeune homme, sûr, très-honnête, très-dévoué, lui commandant de l'enfermer, et, s'il le lui demandait, de ne pas le lui donner. Comment le tirer de ses mains? Comment livrer ce secret d'honneur déj

Il connaissait un brave garçon très-dévoué, bon marin, du nom de James Wall. Ce Wall pouvait avoir trente ans, et n'en était pas