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Le pays que nous traversons est très pittoresque. Aux bosquets touffus de haut taillis de chêne succèdent des forêts immenses, des futaies magnifiques, les arbres atteignent des dimensions superbes. Ces forêts qui seraient une source de richesse si on les exploitait normalement, sont abandonnées. Les villages sont misérables, pauvres et sales, et l'on éprouve une impression pénible, lorsqu'on parcourt ces fertiles vallées des Carpathes, en constatant que l'activité y fait totalement défaut. Mais le pauvre, dans ce pays, n'a guère de besoins: il a dans sa maison du maïs, des oignons, du pain, un bloc de sel, du fromage, et cela lui suffit. La forêt lui fournit le bois, et ses vêtements sont filés, tissés et confectionnés chez lui par les femmes . Chaque habitation a, en effet, son métier

Mats comment pourrons-nous passer dans ces buissons si touffus? je ne vois pas de chemin

Point de montagnes pittoresques, rien de frappant, rien d'extraordinaire dans cette nature paisible; mais un développement grandiose de terres cultivées, un morcellement infini de champs, de prairies, de taillis et de larges chemins communaux offrant la variété des formes et des nuances, dans une harmonie générale de verdure sombre tirant sur le bleu; un pêle-mêle de clôtures plantureuses, de chaumines cachées sous les vergers, de rideaux de peupliers, de pacages touffus dans les profondeurs; des champs plus pâles et des haies plus claires sur les plateaux faisant ressortir les masses voisines; enfin, un accord et un ensemble remarquables sur une étendue de cinquante lieues carrées, que du haut des chaumières de Labreuil ou de Corlay on embrasse d'un seul regard.

Devant un paysage aux bois touffus et ombreux, Widor nous dit brusquement: «Croyez-vous

Celle-ci secoua la tête; ses yeux moqueurs et pénétrants parurent rentrer encore sous leurs sourcils touffus, et ses mains maigres couvertes de rides innombrables s'appuyèrent sur le bâton qu'elle tenait. allez-vous? Votre nom, jeune homme? demanda-t-elle. Je me nomme Paschal, répondit l'héritier des Mirolawski. C'était le premier mensonge de sa vie. Cherchez-vous donc du travail?

Enfin le sentier devint plus clair; la marche, plus libre; ils atteignirent la limite du bois et se trouvèrent sur une grande route. Ils la suivirent quelque temps et entrèrent bientôt dans une ruelle ombragée par deux rangées d'arbres si serrés et si touffus que leurs cimes se rejoignaient en berceau et formaient une arcade au-dessus de l'étroit sentier. Un poteau mutilé indiquait que cette ruelle menait

Les buissons, les arbustes, les joncs épineux, les racines des arbres saillant hors de terre entravaient leur marche. L'enfant suivait la silhouette de sa mère, éclairée par instant des rayons de la lune, traversant les branchages touffus. C'était le bois mystérieux de la famille d'Ibarra.

On serrait le rivage d'assez près pour s'apercevoir que plus on avançait le long de la côte, plus les arbres étaient grands et touffus, plus le pays s'embellissait dans la perspective. On descendait de temps en temps

"Y aurait-il une fête dans cette solitude?" se demanda-t-il. Avançant jusqu'au premier détour, il entendit un bruit de voix qui s'approchaient. Il se jeta de côté dans les jeunes sapins touffus, s'accroupit et écouté en retenant son souffle. C'étaient des voix enfantines. Une troupe d'enfants passa tout près de lui.

Au lieu d'être installée dans la vallée une des plus belles de la contrée, cette habitation était perchée comme un nid d'aigle sur la cime d'un côteau, et disparaissait au milieu des feuillages touffus. La pente, pour y arriver, était hérissée de rocs menaçants, disposés en forme de labyrinthe, et qui en rendaient l'accès difficile