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Mis à jour: 8 juin 2025
Toutes les recherches pour découvrir quelques traces de sa demeure ayant été inutiles, je tombai dans un sombre abattement, dont mon ami sir Georges Middleton eut la bonté de s'inquiéter; il m'invita de passer quelque temps
Je répétai encore: «De douze pièces.» Et je tombai dans une sorte de coma. J'en fus tiré par la sensation d'un fer rouge sur mon front. J'ouvris les yeux. Tanit-Zerga était penchée sur moi. C'était sa main qui me brûlait ainsi. Lève-toi, me dit-elle. Partons. Partir, Tanit-Zerga! Le désert est en feu, le soleil est au zénith. Il est midi. Partons, répéta-t-elle. Alors, je vis qu'elle délirait.
Le plus navré, c'était certainement moi, et je tombai,
«Vous pouvez, Madame, ne pas me permettre de vous suivre; mais je ne vous en suivrai pas moins. Il le faut, c'est mon devoir, je ne puis faire autrement.» À cette surveillance hautement déclarée, je tombai de surprise et de mépris pour la pauvre humanité, produisant de pareils caractères. Cet homme tenait encore
Les charges de cavalerie furent terribles; Kellermann en fit trois de suite avec ses dragons; il les menait et les ramenait. Toute cette cavalerie sautait par-dessus moi qui étais étourdi dans le fossé. Je me débarrassai de mon sac, de ma giberne et de mon sabre; je pris la queue du cheval d'un dragon qui était en retraite, laissant tout mon fourniment dans le fossé. Je faisais des enjambées derrière ce cheval qui m'emportait, et je tombai roide, ne pouvant plus souffler. Mais, Dieu merci! j'étais sauvé. Sans ma chevelure (que j'ai encore
Je me débarrassai avec beaucoup de peine de la foule de tant de cadavres sanglants entassés, et je me traînai sous un grand oranger au bord d'un ruisseau voisin; j'y tombai d'effroi, de lassitude, d'horreur, de désespoir, et de faim. Bientôt après mes sens accablés se livrèrent
Je tombai entre les mains d'un riche marchand, qui ne m'eut pas plutôt acheté qu'il me mena chez lui, où il me fit bien manger et habiller proprement en esclave. Quelques jours après, comme il ne s'était pas encore bien informé qui j'étais, il me demanda si je ne savais pas quelque métier. Je lui répondis, sans me faire mieux connaître, que je n'étais pas un artisan, mais un marchand de profession, et que les corsaires qui m'avaient vendu m'avaient enlevé tout ce que j'avais. Mais dites-moi, reprit-il, ne pourriez-vous pas tirer de l'arc? Je lui repartis que c'était un des exercices de ma jeunesse, et que je ne l'avais pas oublié depuis. Alors il me donna un arc et des flèches; et m'ayant fait monter derrière lui sur un éléphant, il me mena dans une forêt éloignée de la ville de quelques heures de chemin, et dont l'étendue était très-vaste. Nous y entrâmes fort avant; et lorsqu'il jugea
Je tombai évanouie quand on m'en porta la nouvelle, et quand je revins
Je tombai malade
Le troisième jour, je tombai sur une ville de rats des sables. Les cheveux du vieux nègre étaient plus longs alors qu'ils ne sont aujourd'hui. J'en fis des collets, et j'attrapai pas mal de rats; mais ils devinrent farouches, eux aussi, les satanés animaux, et je dus renoncer
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