Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 24 mai 2025
Fernand Garcias traverse la ville. Il voit dans l'attitude, il lit dans les regards des Tolédans le témoignage de leur complicité; il n'est plus temps pour lui de chercher
Les Tolédans se plaisent
Ce fut durant cette période que les Juifs Tolédans élevèrent les deux synagogues qui témoignent de leur richesse et de leur goût. L'église qui porte le nom de Santa Maria la Bianca est le plus ancien de ces sanctuaires. Elle avait gardé jusqu'en 1405 sa destination première. Mais
Les Tolédans ont l'aspect sombre et le visage sévère, mais chez eux la nature ne perd pas ses droits, et l'on s'aime ici comme dans la joyeuse et bruyante Séville, peut-être même avec une ardeur d'autant plus grande qu'elle est plus concentrée. Deux jeunes gens s'adoraient; ils se le dirent, et comme les circonstances les obligeaient
La chapelle mozarabe, qui subsiste encore aujourd'hui, est ornée de fresques gothiques du plus haut intérêt: elles ont pour sujets des combats entre les Tolédans et les Mores; la conservation en est parfaite, les couleurs sont vives, comme si la peinture était achevée de la veille; l'archéologue y trouverait mille renseignements curieux d'armes, de costumes, d'équipement et d'architecture, car la fresque principale représente une vue de l'ancienne Tolède, qui a dû être d'une grande exactitude. Dans les fresques latérales sont peints avec beaucoup de détails les vaisseaux qui apportèrent les Arabes en Espagne; un homme du métier pourrait en tirer d'utiles renseignements pour l'histoire si embrouillée de la marine au moyen âge. Le blason de Tolède, cinq étoiles de sable sur champ d'argent, est répété en plusieurs endroits de cette chapelle
Les armuriers tolédans formaient bien une corporation jouissant d'importants privilèges, tels que l'exemption des impôts et des droits sur le fer et sur la vente des épées, mais chacun poursuivait son oeuvre dans le mystère de sa forge, et gardait avec un soin jaloux le secret de ses procédés.
L'ange pria, supplia, la Peste fut intraitable, et il fallut lui accorder le tribut qu'elle réclamait. Elle passa, exerça pendant trois mois de terribles ravages, et détruisit les Tolédans par milliers. «Misérable, menteuse, parjure! s'écria l'ange, quand elle se décida enfin
Tu m'avais accordé les vies de deux cents Tolédans. Je les ai prises. Les autres sont morts de peur. Je n'y suis pour rien!»
La langue chante, Le coeur pleure... Il semble que, pour sourire, les Tolédans soient contraints de franchir l'enceinte de leur cité.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche