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C'est du Japon également que nous vient la photographie reproduite ci-dessous. Au pays des chrysanthèmes, la fleur nationale est l'objet d'un culte attentif et charmant, qui prend les formes les plus imprévues: dans le parc de Dangosaka. A Tokio, on l'utilise pour figurer, en grandeur naturelle, les héros du vieux théâtre japonais.

Nous ne pourrions mieux compléter cet exposé de l'art dramatique au Japon que par le résumé d'un drame qui se jouait l'hiver dernier dans un grand théâtre de Tokio.

Après avoir travaillé plusieurs années le jiu-jitsu avec des amis japonais habitant New-York, M. H. Irving Hancock a suivi les cours du professeur de la police de Nagasaki et des maîtres réputés de Tokio et de Yokohama.

[Illustration: Le chrysanthème «Tokio». Le bégonia «Lotte» Deux fleurs remarquées

Lorsque l'ex-maire de Tokio, le bouillant Ozaki Yukio, déj

Les artistes célèbres se partagent les publics de Tokio et de Kyoto. En dehors de ces deux villes, il n'y a guère que des troupes de second ordre, troupes de province plus ou moins habiles suivant l'importance et le goût artistique des populations. Osaka même, qui dépasse en nombre d'habitants, l'ancienne résidence impériale, est, au point de vue théâtral, moins bien pourvue. On est trop affairé dans cette ville de commerce et d'industrie pour qu'il reste du temps

Le jeune homme, lui, est le type même du parfait gentleman bien , tel que le conçoit le Japonais d'aujourd'hui. Il suit, avec son ami Horatio pardon, Shozi Hara les cours de l'Université de Tokio. Bien entendu, il aime. Il a élu Oriye Mme Sada Yacco fille de Naonoshin Horio, étourdi, empressé, gaffeur comme Polonius lui-même.

Les premières salles de Tokio contiennent jusque deux mille personnes. Mais la population de cette ville est si nombreuse et si fanatique de drame, qu'une pièce peut tenir l'affiche et faire salle comble pendant plusieurs mois. Il faut bien qu'il en soit ainsi pour qu'on s'en tire, car la mise en scène est fort coûteuse.

Un jour, se promenant au cimetière d'Hoyama, près de Tokio, il a une vision: son père, le feu duc Hamura c'est M. Otojiro Kawakami, le mari de Mme Sada Yacco, que nous applaudîmes auprès d'elle

On comprend qu'après cet entraînement, sans devenir des suffragettes, les jeunes diplômées de l'université de Tokio n'accepteront plus désormais sans discussion les principes du sage Kaibara qui furent si longtemps regardés comme un dogme dans la société japonaise.