Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 19 juin 2025
Trois fois par mois, elle réunit sous sa présidence la grande assemblée du Toujo, et porte devant elle les affaires qui intéressent le Japon. Toute innovation au pacte social doit être approuvée par le toujo, puis ensuite par le mikado. Cette assemblée réunit la grande noblesse du Japon, qui se trouve ainsi avoir autorité et pouvoir légal sur les décisions du taïkoune.
Enfin, toutes les circonstances qui déterminent la position spéciale du Taïkoune, suscitent autour de lui des influences de personnalité qui donnent
Quant au Taïkoune, il est mandataire du Mikado. Dans l'ordre administratif du Kouandshiokou, il occupe le quatrième rang; dans l'ordre honorifique des Ikaï, il ne vient qu'en cinquième. Il ne possède pas l'autonomie de son pouvoir, et n'en peut conserver la puissance qu'en agissant comme mandataire. C'est précisément pour avoir abandonné ce rôle en usurpant,
Il aurait été si facile au Taïkoune de se fortifier, entouré d'une juste considération, en protégeant dans sa sphère les relations extérieures. Au lieu de cela, c'est lui-même qui fait obstacle
Cet état de choses une fois connu, la question se simplifie pour les gouvernants européens, qui voient dès lors dans quel sens il faut agir et quelle ligne de conduite il faut suivre. Nous sommes entrés dans cette voie normale en sollicitant la ratification par le Mikado des traités conclus avec le Taïkoune. A cette occasion, l'ordre légal fut soutenu par les grands Daïmios suzerains, qui pressèrent le Mikado d'accorder l'inscription de ces traités dans le livre des «Volontés suprêmes.» Grâce
C'est la présence des étrangers qui fit naître ces crises qui bouleversent aujourd'hui l'empire du Soleil Naissant, et par eux l'élément de la civilisation occidentale est venue se choquer contre l'autorité du passé et de la tradition. Pour chacun de ces deux principes s'armèrent des partisans dont les intérêts étaient depuis longtemps séparés. Au nom du respect de la tradition, la noblesse féodale vint se grouper autour du mikado, souverain incontesté du pays. Au nom de la pression des circonstances, le taïkoune présente, dès le commencement de la lutte, des observations
Les filles du mikado sont recherchées en mariage par les grands daïmios, le taïkoune, les prêtres supérieurs du sineto, ou bien encore occupent comme prêtresses des dignités religieuses. La descendance du daïri peut être considérable, car outre douze épouses légitimes, il peut avoir sept fois plus de femmes d'un rang inférieur.
Cet état est d'autant plus grave pour le Taïkoune que ses faiblesses n'ont pas leur correspondance chez les Daïmios. Ces suzerains gouvernent leurs
Le lien de féodalité fut rompu. Les Daïmios ne considèrent plus le Taïkoune comme mandataire du Mikado. En signe de rupture, ils ne se portèrent
A la tête de la noblesse sont placées les trois familles des gosankés issues de trois frères du taïkoune, Shidé-Tada fils et successeur d'Héas. Les chefs de ces familles portent le titre de dono. Ce sont: Owari dono, seigneur de la province d'Owari, Ki dono, seigneur de la province de Kishiou, Mito dono, seigneur de la province de Mito.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche