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Je lèverai la pierre du tombeau, Et, contemplant ton Visage si beau, Je chanterai Et me réjouirai, Te voyant de mes yeux T'élever glorieux! Je vois briller des divines splendeurs Tes yeux d'enfant, ce soir mouillés de pleurs. Verbe de Dieu, Ta parole de feu Doit retentir un jour Consumante d'amour! L'Ange de l'Eucharistie. Air: Par les chants les plus magnifiques.

Et c'est pour un pareil pour un être de cette race que tu méprises, et au-dessus de laquelle tu veux t'élever, pour te mêler

Alle se débarrassait de toi pour pouvoir mieux faire la fête! La coquine! Alle se déchargeait su de pus pauv' qu'alle du soin de t'élever. Encore si alle avait laissé son adresse, si alle avait dit comment que tu t'appelais: mais ren pour te faire connaître, pas un mot d'écrit, pas un scapulaire, une médaille, une croix, comme y en a qui en ont, qu'on raconte. Jolie!

M. Nizerolles, attiré par le bruit, sortit de son cabinet, et prenant le petit furieux dans ses bras, il lui dit: «Ta soeur ne quittera pas la maison, mauvais garnement, mais ce sera toi. Puisque nous ne savons pas t'élever, je vais te mettre en meilleures mains; car ici tu deviendrais un mauvais sujet

Aussi, lorsque je te vois souriante, satisfaite, je me crois pardonné... Mon seul but, mon seul voeu est de te rendre aussi idéalement heureuse que tu as été infortunée, de t'élever autant que tu as été abaissée, car il me semble que les derniers vestiges du passé s'effacent lorsque les personnes les plus éminentes, les plus honorables, te rendent les respects qui te sont dus.

Je rime pour rimer: mais est-ce être poète, Que de savoir marquer le repos dans un vers: Et se sentant pressé d'une ardeur indiscrète, Aller psalmodier sur des sujets divers? Mais lorsque je te vois t'élever dans les airs, Et d'un vol assuré prendre l'essor rapide, Je crois, dans ce moment, que Voltaire me guide: Mais non; Icare tombe et périt dans les mers.

Tu ne mérites guère les violences que je te fais, s'écria-t-il, pour t'élever sur le trône; mais une fatalité qui m'est inconnue, me force

«Il l'était trop sans doute, ma pauvre enfantrépondit la mère d'une voix profonde. «Que serais-je devenue, que serais-tu devenue toi-même, si j'avais eu le malheur, il y a quinze ans, de penser ce que tu penses aujourd'hui, lorsque j'étais au chevet du lit de mort de qui tu sais? Et lui aussi, il était tout mon orgueil, toute ma joie de vivre, toute mon espérance. Il était davantage encore puisque tu étais sa fille, et que j'avais besoin de son appui pour t'élever... J'ai triomphé du désespoir cependant, parce que je croyais, et quelle différence y a-t-il, en effet, entre croire et ne pas croire, entre avoir de la religion et n'en avoir pas, si cette religion ne nous sert de rien dans nos peines? Lorsque tu dis le matin et le soir: «Notre Pèreque signifient pour toi ces mots, si tu ne penses pas que celui

Eh bien! poursuivit Sperver, puisqu'il en est ainsi, tu rempliras nos verres.... Je veux t'élever de plus en plus, car tu le mérites

Il n'est plus! chantons sa valeur, Célébrons ses vertus, sa gloire; Mais n'outrageons pas sa mémoire Par une éternelle douleur. Disons-nous: son ame sublime Vole vers la divinité, Et laissons le vice et le crime Douter de l'immortalité. Avant de t'élever aux cieux, Esus t'éprouva sur la terre; De cette épreuve passagère, Dépendoit ton sort glorieux.