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Mis à jour: 21 mai 2025
Tu as ri de l'histoire des cantatrices chinoises, dans le dernier; mais tu ne sais pas que je pensais en t'écrivant
Jamais je n'ai été si heureuse de ma vie. Je ne méritais pas cela... Je ne puis rien souhaiter de plus,... rien espérer de mieux;... je ne regretterai rien. Elle s'est assoupie. Ses lèvres entr'ouvertes ont un sourire pur et paisible; mais elle est prise par intervalle de tressaillements terribles, et ses traits s'altèrent profondément. Je la veille en t'écrivant.
Tu reviendras, n'est-ce pas? Je retrouverai mon bon et loyal camarade, avec son grand coeur et ses grands yeux? O mon petit ange, que tu es joli! Que tu m'es cher, toi, mon seul ami. Avec quel plaisir je sens, en t'écrivant, que mon coeur s'épanche avec confiance, avec amour, que je puis pleurer dans tes bras! Oh, Dieu merci! j'ai un ami: on ne me le volera pas; il prie pour moi, et moi pour lui. Si je ne t'avais pas connue et perdue, George, je n'aurais jamais compris ce que je devais être, et pourquoi ma mère a eu un fils. Quand nous étions ensemble, je laissais ma stupide jeunesse tomber lentement en poussière; mais je ne me rendais compte de rien de ce qui se passait en moi. Je me disais que cela valait toujours mieux que le passé. Je remettais au lendemain; je croyais qu'il serait toujours temps; je réfléchissais et je doutais. De plus, je suis d'une nature faible et oisive; la tranquillité de nos jours de plaisir me berçait doucement. Pendant ce temps l
Tu t'envolas vers la rive de France, En me disant: «Je ne t'oublierai pas; J'adoucirai ta brûlante souffrance En t'écrivant quand je serai l
Seulement, la dernière nuit, il fit de la pluie tout le temps. Je me réfugiai dans l'escalier, où je fus bien. Je pleure un peu en t'écrivant cela, parce que je n'ai pas eu quatre autres jours de bonheur en toute ma vie. Pardonne-moi, c'est fini. À la maison, personne ne s'aperçut de rien. Il est vrai que j'usai de ruse pour la première fois depuis ma naissance.
Paris, 7 juin 1895. ... Je viens d'être interrompue en t'écrivant par l'arrivée de tes excellentes lettres... C'est dans ton énergie que je puise des forces, c'est toi qui me soutiens... D'autre part, si je puis vivre séparée ainsi de toi, torturée par tes cruelles souffrances, c'est que mon espoir est immense, ma confiance en l'avenir absolue.
Je n'ai point sorti encore de mon appartement, l'idée de voir Frédéric me fait frémir. J'ai dit que j'étais malade, je le suis en effet; ma main tremble en t'écrivant, et je ne puis calmer l'agitation de mes esprits. Qu'est-ce donc que ce terrible sentiment d'amour, si sa vue, si la pitié qu'il inspire, jettent dans l'état où je suis? Ah! combien je bénis le ciel de m'avoir garantie de son pouvoir! Va, mon amie, c'est bien
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