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Qui cela peut-il êtreSébalt haussa les épaules, écarta les mains et se tut. «Qui peut avoir intérêt

Parfois il se taisait une seconde pour écouter, et faisait vaciller les hautes tentures comme un feuillage, en hochant la tête ... puis il reprenait son chant mélancolique. Sperver, Sébalt et moi, nous étions cloués

Mais le hurlement partait de l'intérieur. Alors, se tournant de notre côté: «Fritz!... Sébalt!...s'écria-t-il, arrivez!...» Nous descendîmes les marches quatre

Sperver tira son couteau de chasse, Sébalt en fit autant; ils me précédèrent dans la galerie. Les hurlements nous guidaient vers la chambre du malade. Sperver, alors, ne disait plus rien ... il pressait le pas. Sébalt allongeait ses longues jambes. Je sentais un frisson me parcourir le corps: un pressentiment nous annonçait quelque chose d'abominable.

«C'est mon ami Sébalt qui pleure l

Plusieurs jours se passèrent sans rien amener de nouveau. Mon existence au Nideck était fort monotone; c'était toujours le matin l'air mélancolique de la trompe de Sébalt, puis une visite au comte, puis le déjeuner, puis les réflexions

Sébalt avait mis sa jambe droite sur sa jambe gauche, et, le coude sur le genou, le menton dans la main, il regardait le feu avec un air de tristesse inexprimable. Marie Lagoutte, après avoir pris une nouvelle prise, arrangeait son tabac dans sa tabatière, et moi, je réfléchissais

En ce moment Sperver parut au fond de la galerie, suivi de son ami Sébalt. «Eh! Fritz! cria-t-il en traversant la courtine, tu vas en apprendre de belles! Allons ... bon! me dis-je, encore du nouveau.... Décidément le diable se mêle de nos affairesMarie Lagoutte avait disparu. Le piqueur et son camarade entrèrent dans la tour.

«Je reprends la piste, poursuivit enfin Sébalt; elle remonte de l'autre côté, dans l'escarpement des sapins, puis elle fait un crochet autour de la Roche-Fendue. Je me disais en moi-même: «Oh! vieille peste, s'il y avait beaucoup de gibier de ton espèce, le métier de chasseur ne serait pas tenable; il vaudrait mieux travailler comme un nègreNous arrivons, les deux pistes et moi, tout au haut du Schnéeberg. Dans cet endroit, le vent avait soufflé; la neige me montait jusqu'aux cuisses: c'est égal, il faut que je passe! J'arrive sur les bords du torrent de la Steinbach. Plus de traces de la Peste! Je m'arrête, et je vois qu'après avoir piétiné

Je fus entraîné par Sébalt, installé près de Marie Lagoutte, et mis en possession d'un grand verre de Bohème, avant d'être revenu de mon ébahissement.