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Un surin! s'écria Javert. Tu as raison. Cela te convient mieux. Jean Valjean coupa la martingale que Javert avait au cou, puis il coupa les cordes qu'il avait aux poignets, puis se baissant, il coupa la ficelle qu'il avait aux pieds et, se redressant, il lui dit: Vous êtes libre.

Vers cinq heures, comme le soleil baissait, l'abbé Surin proposa aux demoiselles Rastoil une partie de volant. Il était de première force. Malgré l'approche de la trentaine, Angéline et Aurélie adoraient les petits jeux; leur mère leur aurait encore fait porter des robes courtes, si elle avait osé.

L'abbé Surin reprenait son livre, lorsque l'abbé Faujas se fit annoncer. Monseigneur Rousselot, l'air riant, les mains tendues, s'avança

Cependant, tous les assistants retenaient leur haleine. L'abbé Surin, voyant grossir son public, voulut enlever les applaudissements par un dernier tour d'adresse. Il s'ingénia, se proposa des difficultés, se tournant, jouant sans regarder venir le volant, le devinant en quelque sorte, le renvoyant

Les rires éclatèrent de nouveau. L'abbé Surin, rose comme une fille, s'essuyait délicatement le front,

Ce fut Angélique qui trouva le torchon, dans la poche béante du docteur Porquier, l'abbé Surin l'avait adroitement glissé. On rit beaucoup, on regarda le choix de celle cachette comme une plaisanterie très-ingénieuse.

Bravo! bravo! cria M. Péqueur des Saulaies en s'approchant. Bravo! le coup est superbe! répéta M. Rastoil, qui s'avança également. La partie fut interrompue. Les deux sociétés avaient envahi l'impasse; elles se mêlaient, entouraient l'abbé Surin, qui, hors d'haleine, s'appuyait au mur,

Ils sortirent, et la partie la plus agréable du monde s'engagea. Les deux demoiselles commencèrent. Ce fut Angéline qui manqua la première le volant. L'abbé Surin l'ayant remplacée tint la raquette avec une adresse et une ampleur vraiment magistrales. Il avait ramené sa soutane entre ses jambes; il bondissait en avant, en arrière, sur les côtes, ramassait le volant au ras du sol, le saisissait d'un revers

L'amant de l'actrice fouilla dans sa poche et en tira un assez long couteau qu'il ouvrit: Je lance le surin comme l'Italien lance le stylet, comme l'Espagnol lance la navaja et comme lançait ses poignards le Chinois des Folies-Bergère...

L'abbé Surin, en effet, était devenu très-pâle, en entendant parler du danger qu'il avait couru. Il fléchissait, lorsque l'abbé Faujas, qui s'était tenu