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Mis à jour: 28 octobre 2025
M. d'Abancourt, ministre du Roi au département de la guerre, fut décrété d'accusation pour n'avoir pas fait partir les Suisses. Mais, d'après l'ordre du Roi de le quitter, il s'était mis en sûreté et ne put être arrêté.
La porte du salon d'attente s'ouvrit devant Armand, avant même qu'il eût fait un signe, car les suisses le connaissaient, et, en sa qualité d'officier attaché
Ainsi voyons nous que les habitans de Suisses sont autres que ceux de l'Italie, & que l'air Septentrionnal estant froid & grossier, fait ordinairement les hommes moins polis & tardifs, où l'air meridionnal chaud & subtil, les subtilise, & les rend d'un esprit relevé & gentil quand au general, mais descendant au particulier, il y a des sages, & des moins advisez par tout.
Les Suisses, échauffés déj
Pénible coutume, asservissement incommode! se chercher incessamment les unes les autres avec l'impatience de ne se point rencontrer; ne se rencontrer que pour se dire des riens, que pour s'apprendre réciproquement des choses dont on est également instruite, et dont il importe peu que l'on soit instruite; n'entrer dans une chambre précisément que pour en sortir; ne sortir de chez soi l'après-dînée que pour y rentrer le soir, fort satisfaite d'avoir vu en cinq petites heures trois suisses, une femme que l'on connaît
Allons! crièrent impatiemment Mayenne et la duchesse. Le roi trempa la plume dans l'encre. Les Suisses! accourut dire Foulon; ils envahissent le cimetière
Ces noms suisses m'ahurissent, et puis c'est trop coûteux les voyages... mon avarice me reprend... Oh! que je souffre! Ces exagérations amusaient Avertie. Elle demanda: Irez-vous déjeuner? Moi? mais je n'ai pas faim du tout! Pardon... est-ce l'enchaînement de vos idées qui vous amène
Mais elle crut le mal réparé quand le Roi, par force d'argent d'ailleurs, obtint la retraite des Suisses (27 novembre) et des Allemands de l'armée de secours (8 décembre). Elle écrivit d'enthousiasme
Le but de cette mesure était surtout d'éloigner les Suisses, dont la fidélité ne pouvait être douteuse. Pour parer ce coup, le ministère fit agir M. d'Affry, leur commandant. Celui-ci s'appuya sur ses capitulations pour refuser de quitter Paris. On parut prendre en considération les raisons qu'il présentait, mais on ordonna provisoirement le départ de deux bataillons suisses.
Fou de rage, il descend dans la cour d'honneur, la traverse en courant, saute sur une autre mèche et se précipite vers la Sainte-Barbe. Plus prompt que lui, le soldat Becquart l'arrête encore. Alors il appelle les Suisses a son aide, mais les invalides font bonne contenance et de Launay en vient
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