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Mis à jour: 21 mai 2025
Je voyais aussi très fréquemment le comte de Strogonoff, son fils et sa belle-fille. Cette dernière était jeune, jolie et très spirituelle. Son mari, qui avait vingt-cinq ans au plus, était un homme charmant. Une actrice qui venait de Paris lui tourna la tête. La comtesse s'aperçut de son infidélité, et comme elle l'aimait beaucoup, elle en souffrit excessivement sans jamais lui en parler. Le jeune comte entretenait avec faste cette actrice, qui s'appelait mademoiselle Lachassaigne; il eut d'elle un enfant, et lui fit alors six mille roubles de pension. Lorsque la guerre avec les Français eut lieu, il fut tué; mais la jeune comtesse continua la pension de six mille roubles
La maison du baron de Strogonoff n'était pas la seule
Peterhoff. Pétersbourg. Le comte d'Esterhazy. Czarskozelo. La grande-duchesse Elizabeth, femme d'Alexandre. Catherine II. Le comte Strogonoff. Kaminostroff. Esprit hospitalier des Russes.
Dans mes premières courses j'allai voir la comtesse Strogonoff, femme de mon vieux et bon ami. Je la trouvai hissée sur une machine très élevée, qui faisait continuellement la bascule. Je ne concevais pas comment elle pouvait supporter ce mouvement perpétuel; mais elle en avait besoin pour sa santé; car elle était dans l'impossibilité de marcher et d'agir, ce qui ne l'empêchait pas d'être aimable.
Dès que Sa Majesté fut de retour de Czarkozelo, le comte de Strogonoff vint me commander, de sa part, les portraits des deux grandes-duchesses Alexandrine et Hélène. Ces princesses pouvaient avoir treize ou quatorze ans, et leurs visages étaient célestes, bien qu'avec des expressions toutes différentes. Leur teint surtout était si fin et si délicat qu'on aurait pu croire qu'elles vivaient d'ambroisie. L'aînée, Alexandrine, avait la beauté grecque, elle ressemblait beaucoup
J'ai retrouvé aussi avec plaisir la baronne de Strogonoff, que je voyais beaucoup
Un des souvenirs les plus doux que j'aie rapportés de mes voyages est celui de ma réception comme membre de l'Académie de Pétersbourg. Je fus prévenue du jour fixé pour me recevoir par le comte de Strogonoff, alors directeur des beaux-arts. Je m'étais fait faire l'uniforme de l'Académie: un habit d'amazone, petite veste violette, jupe jaune, chapeau et plumes noirs. À une heure j'arrivai dans un salon qui précédait une grande galerie, au fond de laquelle j'aperçus de loin le comte Strogonoff, établi
D'autres séparations me semblaient bien pénibles aussi; les princesses Kourakin et Dolgorouki, cet excellent comte Strogonoff qui m'avait donné tant de preuves d'attachement, voil
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