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Mis à jour: 18 juin 2025


Par ma foi! dit celui-ci, nous pourrions répondre comme les Spartiates: Nos poitrines; comme garnison, 3 000 hommes

Parmi les attaques auxquelles le critique fut en butte pendant sa longue carrière, celle de Balzac est restée la plus célèbre, tant par la qualité de l'agresseur que par la violence et la grossièreté des représailles. Elle mérite qu'on s'y arrête un instant, dût-on n'en retirer d'autre profit que celui des Spartiates devant l'ivresse des ilotes.

«Cela est ainsi. Et l'on se sacrifie pour ces visions, qui, pour les sacrifiés, sont des illusions presque toujours, mais des illusions auxquelles, en somme, toute la certitude humaine est mêlée. L'insurgé poétise et dore l'insurrection. On se jette dans ces choses tragiques en se grisant de ce que l'on va faire. Qui sait? on réussira peut-être. On est le petit nombre, on a contre soi toute une armée; mais on défend le droit, la loi naturelle, la souveraineté de chacun sur soi-même qui n'a pas d'abdication possible, la justice, la vérité, et au besoin on meurt comme les trois cents Spartiates. On ne songe pas

Soutenez avec fermeté un si grand poids, dussiez-vous essuyer le sort des trois cents Spartiates au pas des ThermopylesJe dis, et il n'y eut pas une réclamation: nous agîmes en conséquence, et la vérité reste. Je fis

Cela est ainsi. Et l'on se sacrifie pour ces visions, qui, pour les sacrifiés, sont des illusions presque toujours, mais des illusions auxquelles, en somme, toute la certitude humaine est mêlée. L'insurgé poétise et dore l'insurrection. On se jette dans ces choses tragiques en se grisant de ce qu'on va faire. Qui sait? on réussira peut-être. On est le petit nombre; on a contre soi toute une armée; mais on défend le droit, la loi naturelle, la souveraineté de chacun sur soi-même qui n'a pas d'abdication possible, la justice, la vérité, et au besoin on mourra comme les trois cents Spartiates. On ne songe pas

Ces migrations fréquentes sont dans un but politique pour briser les intimes relations des guerriers et des citadins: ces soldats, péniblement fatigués de la marche dans une route boueuse, par le poids de leurs armes et de leurs bagages; ces rejetons de leurs illustres devanciers, qui ont porté la gloire du nom français jusque sous la zone glaciale, s'approchent de notre célérifère pour s'informer s'ils pourraient occuper les places vacantes; leurs quelques pièces de monnaie ne suffisent pas au conducteur; ils sont obligés de continuer pédestrement la route, comme les Spartiates infatiguables, consumés de faim, et d'amour, pour la patrie.

Les débris de l'escadron de hussards s'étaient réfugiés dans l'armoire; les soldats de plomb étaient entièrement tombés an pouvoir de l'ennemi; il y avait longtemps que les artilleurs étaient trépassés; la garde civique était morte comme les trois cents Spartiates, sans reculer d'un pas.

Tout ce qui se trouvait dans le fort fut anéanti: un seul homme, étonné de vivre sans blessures, emporté dans l'air, retomba dans la mer, nagea vers Naples et regagna le Château-Neuf, il raconta la mort de ses compagnons et le sacrifice du prêtre. Ce dernier des Spartiates calabrais se nommait Fabiani.

Mais il n'en est pas ainsi des préparatifs du combat des Spartiates, ni surtout de la figure de Léonidas.

Bon! dit en souriant avec sa sérénité ordinaire le général Championnet, vous avez oublié, Thiébaut, que les Spartiates n'étaient que trois cents: on est toujours assez pour mourir. Donnez l'ordre, mon cher Thiébaut, et qu'ils partent

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