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Mis à jour: 27 juillet 2025
Consultez aussi le livre de M. Paul Mariéton. Joséphin Soulary et la pléiade lyonnaise, 1884, in-18.
Trois jours après mon arrivée, et comme je dînais au restaurant avec deux grands amis, Joséphin Soulary, le délicat poète des Deux Cortèges, et Paul Mariéton, le vibrant félibre provençal, on m'apporta un télégramme d'Hartmann, ainsi conçu: «Cinquième du Cid remise
J'ai peur que ce ne soit le cas pour les Deux Cortèges. L'examen de ce sonnet nous montrera ce qu'est M. Soulary quand il est le plus de sa province. Comme les choses les plus connues le sont toujours moins qu'on ne croit, et que, dans tous les cas, il peut se trouver d'honnêtes gens qui ne sachent point par coeur ce morceau fameux, on me laissera le remettre sous les yeux du lecteur.
Il est donc fort singulier que ce soit M. Soulary qui ait écrit ce vers: Le sentiment du beau, c'est l'horreur du joli.
Assurément on découvrirait chez M. Soulary, si on voulait autre chose que ce que nous y avons vu. On discernerait même chez lui le Lyonnais: il a le mysticisme, parfois un anticléricalisme de canut; et le sentiment révolutionnaire lui inspire des pièces violentes et mélodramatiques sur la misère du peuple. On reconnaîtrait aussi le poète du XIXe siècle
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