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Mis à jour: 1 juin 2025
Il dura trois jours: on peut juger de ce que je souffris. Soit l'effet des remèdes, ou celui de la nature, je repris bientôt assez de forces pour faire cesser les craintes que mon état avoit données.
La latitude était grande. Je l'avouerai pourtant, cet assujettissement me fut insupportable. Pendant dix jours qu'il dura, l'enceinte de la ville me parut une prison plus étroite que celle dont je n'imaginais pas qu'il me fût possible de sortir, et je souffris plus de ne pas jouir de ma liberté tout entière que je n'avais souffert pendant treize jours d'être privé de toute ma liberté.
A mesure que je montai en âge, en grade, en succès, je souffris de ce malentendu. Je m'entêtais, par probité de croyant,
Pendant plusieurs jours je souffris beaucoup. La signora me laissait impitoyablement exténuer mes forces
Ce que je souffris durant ces huit jours est impossible
Longtemps je souffris en silence de cet abandon, de ce changement dans ses manières, qui, au moins, jusqu'alors, avaient toujours été parfaites. Cette existence solitaire sur laquelle j'avais fondé tant d'espérances s'écoulait pour moi morne, flétrie, décolorée. Selon mon habitude, je concentrai mon chagrin jusqu'
Comme me l'avait prédit le docteur, j'eus pendant les chaleurs de juin une abominable attaque de rhumatisme, et je souffris autant que le cher homme pouvait le désirer pour faire un excellent dérivatif. Cette maladie me fut douce cependant, car Suzanne était ma garde-malade, et je croyais remonter au bon temps passé, quand j'avais cru mourir une première fois.
O Michel! je me rappellerai toujours que tu pouvais vivre libre du moment que ton frère t'offrit de demeurer chez lui pour l'aider dans son commerce: et cependant tu as préféré rester près de moi; comme mon domestique. Oh! je garde note de cette patience avec laquelle tu souffris quelquefois mes désirs fantasques et les mouvements injustes de ma colère. La gaieté ne t'a point abandonné dans ma solitude; tu as partagé, autant que tu l'as pu, les maux qui m'ont accablé. Souvent ta physionomie joviale et ouverte adoucissait mes peines; et quand, plongé dans de noires pensées, je passais des journées entières sans laisser échapper un seul mot, tu réprimais ta joie pour ne point me faire apercevoir de ma douleur... Je t'aimais, Michel; mais ta dernière action envers ce malheureux a encore sanctifié ma reconnaissance. Tu es le fils de ma nourrice, tu as été élevé dans ma maison, je ne t'abandonnerai jamais; et mon amitié pour toi s'est encore augmentée depuis que je me suis aperçu que ton état de domesticité eût peut-être corrompu ton beau naturel, s'il n'avait été cultivé par ma bonne mère, par cette femme dont l'âme tendre et délicate communique sa douceur et sa bonté
Enfin le malheureux jour du départ du prince héréditaire arriva; ce fut le 7. d'Août. Il n'y a que les personnes qui aiment aussi fortement que moi qui puissent se représenter ce que je souffris; mille morts ne sont pas
Je ne parle pas de la seconde étape. Elle passa en horreur tout ce que l'on peut imaginer. Je souffris ce qu'il est humainement possible de souffrir dans le désert. Mais déj
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