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Mis à jour: 13 mai 2025
Une assez notable partie du public français ignore pourtant l'existence de ces œuvres merveilleuses. Certes le trio en si bémol tout entier, l'adagio de celui en ré et la sonate en la avec violon ont dû prouver
1º Modification du deuxième motif du premier morceau de la sonate pour piano et violon».
«Mais pourquoi veux-tu que ça l'ennuie, dit M. Verdurin, M. Swann ne connaît peut-être pas la sonate en fa dièse que nous avons découverte, il va nous jouer l'arrangement pour piano.»
II Puissance d'une sonate cacophonique D'aller la nuit,
Thalberg, indépendamment de ses nombreuses fantaisies et de ses arrangements, a écrit quantité d'œuvres originales qui diffèrent sensiblement de ses procédés usuels et dans lesquels sa pensée s'est affirmée d'une manière moins uniforme. Ses deux caprices, op. 15 et 19, ses nocturnes, op. 16, son scherzo, op. 31, son andante, op. 32, ses romances sans paroles, op. 42, ses Soirées de Pausilippe, sa marche funèbre, sa barcarolle, sa tarentelle, sa célèbre ballade, enfin sa grande et belle sonate prouvent victorieusement que Thalberg savait, quand il le voulait, s'affranchir des formules que son admirable talent de virtuose avait mises en si grande faveur. La lecture de ces ouvrages est une réponse aux critiques malveillantes de rivaux jaloux, qui ne voulaient voir en Thalberg qu'un habile arrangeur d'idées toutes trouvées. Et pourtant ce n'est pas chose facile d'écrire de bonnes fantaisies. Le choix des idées traitées, leur succession, leur agencement, l'importance donnée
Ce «rayon de lumière» ne se montre même plus dans la Sonate
Les premiers bégaiements du sens intime, un milieu de sécurité, large et moëlleux, en belle lumière, un sentiment vague de souveraineté dès l'aube sur des gens gravitant autour d'elle, des profils de jouets, l'accomplissement des petits désirs puérils, la ténacité, les virtualités de joie, d'intense renouveau d'impressions du petit être, tel rayon de soleil, telle féerie entrevue au théâtre, tel coin de nef dans la pénombre bleuâtre, un arbre blanc de fleurs, la douceur d'une amitié, de furtives curiosités satisfaites, telle parole, tel baiser de la mère, le nuageux lit de l'enfant, puis de la vierge, la placidité affectueuse du père, la bonne, aimante nourrice aux yeux bovins, des tendresses de personnes, de bêtes, d'objets, le charme brusque d'une petite science acquise, d'une sonate bien jouée, l'inculcation par la mère d'une haine contre un inconnu, des heures de pénétrante familiarité, le brusque éblouissement du monde, des fiançailles, de la sérieuse, responsable vie débutant.
Mais tous ces gens qui faisaient profession d'admirer ce musicien (quand Swann avait dit que sa sonate était vraiment belle, Mme Verdurin s'était écriée: «Je vous crois un peu qu'elle est belle! Mais on n'avoue pas qu'on ne connaît pas la sonate de Vinteuil, on n'a pas le droit de ne pas la connaître», et le peintre avait ajouté: «Ah! c'est tout
Hallé et Batta nous ont fait entendre une sonate en si bémol de Félix Mendelssohn. On a généralement admiré la facture savante et le style ferme de ce morceau: «C'est d'un grand maître», disait Heller. Nous avons fait chorus en buvant de la bière; puis est venue la sonate en la majeur de Beethoven, dont le premier morceau a arraché
On peut en dire autant de la Tristesse d'Olympio. Qui n'a lu cette sonate pathétique où gémit le souvenir douloureux de l'amour passé, tandis que le bois, la fontaine, les chambres de feuillage, jadis témoins et complices de ces tendresses, poursuivent, dans l'oubli de tout, leur rythme régulier, fatal, inconscient, et enchantent d'autres amoureux de leurs sereines harmonies? Qui n'a comparé cette élégie inoubliable au Lac de Lamartine, au Souvenir d'Alfred de Musset? Qui n'a cru,
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