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Mis à jour: 19 juin 2025
Personne n'y mourra, disait-elle; on n'y verra pas de larmes; tous ceux qui y seront entrés en sortiront guéris et triomphants. Quelques jours plus tard, ils partirent pour leur grande propriété du gouvernement de Smolensk.
»Mais, sans aller chercher au loin des causes d'inquiétude, l'empereur a-t-il ignoré la joie des Russes, quand, trois mois plus tôt, il se heurta si rudement contre Smolensk, au lieu de marcher,
Bientôt ils se réunirent et ne formèrent plus qu'une vaste flamme qui s'élevait en tourbillonnant, couvrait Smolensk, et la dévorait tout entière avec un sinistre bruissement. Un si grand désastre, qu'il crut son ouvrage, enraya le comte de Lobau. L'empereur, assis devant sa tente, contemplait silencieusement cet horrible spectacle.
Le prince André, après avoir cru un moment qu'il lui serait indifférent de voir prendre Moscou, comme on avait pris Smolensk, s'arrêta tout
Toutes ses illusions étaient détruites. À Smolensk, où il était arrivé et d'où il était parti le premier, il avait plutôt encore appris que vu son désastre. À Krasnoé, où nos misères s'étaient déroulées successivement sous ses yeux, le péril avait été une distraction; mais
Cependant, ceux que l'hiver avait laissés presque entiers, et qui conservaient un reste de courage, préparaient leurs tristes repas. C'étaient, comme dès Smolensk, quelques tranches de cheval grillées et de la farine de seigle délayée en bouillie dans de l'eau de neige, ou pétrie en galettes, et qu'ils assaisonnaient,
Cependant, la vue de Smolensk avait enflammé l'ardeur impatiente du maréchal Ney; on ne sait s'il se rappela mal
Ils avaient été long-temps incertains, ignorant quel ennemi ils combattaient; car ils avaient cru que de Smolensk, Ney avait fui par la rive droite du Dnieper, et ils se trompaient, comme il arrive souvent, parce qu'ils supposaient que leur ennemi avait fait ce qu'il aurait dû faire. En même temps, les Illyriens étaient revenus tout en désordre; ils avaient eu un étrange moment.
À cette vue, Napoléon, transporté de joie, frappa des mains et s'écria: «Enfin je les tiens!» Il n'en fallait plus douter! cette armée surprise accourait pour se jeter dans Smolensk, pour la traverser, pour se déployer sous ses murs et nous livrer enfin cette bataille tant désirée: l'instant décisif du sort de la Russie était donc enfin venu.
Le 16, et pendant la moitié de la journée du 17, on resta en observation. La fusillade se soutint sur la ligne. L'ennemi occupait Smolensk avec trente mille hommes, et le reste de son armée se formait sur les belles positions de la rive droite du fleuve, vis-
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