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À peine un léger sillon de fumée courut-il sur le pelage roux de Caïn, que, par une volte de prestesse incroyable, il se retourna et se précipita sur le grillage, non pas en rampant, mais d'un bond, et pour ainsi dire debout, superbe... effrayant
Le fusil tourna deux fois sur lui-même, alla s'abattre dans un sillon et resta l
Le navire, avec ses voiles déployées, glissait comme une feuille emportée par la tempête, dévorait l'espace, en creusant l'abîme qui s'écartait en gerbes d'écume éblouissante et gardait long-temps encore un sillon bouillonnant.
J'ai le beau lac, j'ai la vallée Solitaire et toute boisée; De l'Océan j'ai la vague argentée, Perles, corail, trésors divers Des mers. J'ai le vaisseau fuyant la plage, Le sillon d'or et le rivage; J'ai, du soleil festonnant le nuage Alors qu'il disparaît des cieux, Les feux.
Parfois ses dix doigts croisés s'unissent devant son visage. Parfois, elle lève les bras. Elle s'étire délicieusement. Un long sillon fugitif sépare ses épaules haussées. Enfin, d'un seul tour de chevelure enveloppant sa face haletante comme on enroule le voile des noces, elle détache en tremblant l'agrafe sculptée qui retenait l'étoffe
Elle pleurait... de grosses larmes silencieuses roulaient le long de son visage immobile, traçant un large sillon sur sa joue,
La première, qui était causée par la balle de l'enfant, était indiquée par un sillon sanglant tracé au-dessus de l'oeil, la balle étant trop faible pour briser l'os frontal. La seconde venait du premier coup de sir John; la balle avait pris l'animal en biais et avait glissé sur sa cuirasse.
Sur le sillon sacré ou un peu en arrière, s'élèvent ensuite les murailles; elles sont sacrées aussi. Nul ne pourra y toucher, même pour les réparer, sans la permission des pontifes. Des deux côtés de cette muraille, un espace de quelques pas est donné
La rivière se remplit d'eau jusqu'aux bords; tu leur sèmes le blé, tu arroses le sillon, tu l'amollis, tu lui commandes de végéter, tu couronnes l'année de tes dons, et dans tous les sentiers s'épanche l'abondance. Les plaines du désert en débordent, les collines sont enceintes de joie, les prés sont couverts d'agneaux, les vallées vêtues de moissons; on est dans la joie et on chante!
L'histoire n'embrasse que les grands sommets et néglige le sillon; elle chante les hauts faits des grands et se tait sur les humbles: Elle donne des pleurs au général mourant, Mais passe sans regrets, d'un pas indifférent, Devant l'humble conscrit qui tombe! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ils furent grands, pourtant, ces paysans hardis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Qui, perçant la forêt l'arquebuse
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