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On est très content ici de l'intendant M. Sicard, sous-inspecteur aux revues. Il m'accompagne

Dans ces temps d'heureuse mémoire, M. le lieutenant-général de police ne tirait pas moins vanité de l'adresse de ses filous, que feu l'abbé Sicard de l'intelligence de ses muets; les grands seigneurs, les ambassadeurs, les princes, le roi lui-même étaient conviés

Notes: Le roi et sa famille furent conduits au Temple dans la soirée du 10 août. Excepté un seul, l'abbé Sicard, qui fut sauvé par miracle. Voyez la note 23

L'abbé Sicard était le seul parmi les prisonniers de l'Abbaye qui, avant l'arrivée de Maillard, eût trouvé grâce devant les égorgeurs. Il fut repris dans l'une des voitures qui se dirigeaient hors des murs de Paris et qui contenaient d'autres prêtres. On les conduisit tous au comité de la section des Quatre-Nations. Les suspects sont interrogés; quinze d'entre eux trouvent la mort sur les degrés mêmes de la salle. C'est le tour de l'abbé Sicard; il pâlit. Un horloger, le citoyen Monnot, découvre sa poitrine pour recevoir les coups qu'on préparait

L'abbé Sicard témoigna sa reconnaissance

Ah! dit-il, l'Assemble a réclamé l'abbé Sicard et l'a sauvé. Cette bonne Assemblée! s'écria Dumouriez, elle a osé! Mais elle va se faire donner le fouet par la Commune. Manuel, continua Jacques, a sauvé de son côté Beaumarchais. Par ma foi! dit Dumouriez, il eût pu mieux choisir.

Les rapports de Couthon avec l'abbé Sicard, le directeur de l'

Comment naquit cette légende? Quel est l'inventeur breveté, sans garantie de l'histoire, de cette anecdote? Aucun contemporain n'en parle: Jourgniac de Saint-Méard n'en dit mot, pas plus que les chroniqueurs ou les témoins royalistes des massacres de septembre, l'abbé Sicard, Peltier ou Maton de la Varenne. Lacretelle, dans son Histoire de la Révolution, dit,

La seconde représentation fut témoin d'un heureux incident, auquel les sourds-muets durent la liberté de l'abbé Sicard, le plus célèbre successeur de l'abbé de l'

Script. rer. ital., vol. C'était ainsi généralement qu'on écrivait alors l'histoire. Aucun auteur n'y employait un autre style, et n'y mettait plus de critique, ou plus de fidélité. On ne peut donc s'arrêter ni aux deux grandes Chroniques universelles, l'une de Godefroy de Viterbe, selon les uns, et de Wittemberg, selon les autres, que l'auteur ou les copistes appelèrent fastueusement le Panthéon, l'autre de Sicard, évêque de Crémone; ni