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Un critique artiste plutôt que «technique» c'est ce qu'a été Diderot, et c'est le «métier» aussi bien au théâtre qu'au salon qu'il a peu connu; mais ses impressions générales sont justes, et il ne s'est trompé ni sur Greuze ni sur Sedaine. Remarquons de plus que si sa critique est si littéraire, c'est que la peinture de son temps est bien littéraire aussi. Il a affaire

Comment, monsieur, moi, directeur du théâtre d'Orléans, je n'aurais pas le droit?... reprit-il en se gonflant les joues. Aucun droit, mon brave directeur, dit Grétry. Eh! comment se fait-il que vous doutiez un moment d'un talent dont Sedaine et moi avons répondupoursuivit-il avec plus de sérieux. Je fus bien aise d'entendre ce nom cité avec autorité, et je prêtai plus d'attention.

JULES SIMON Boulevard de la Madeleine. SHAKESPEARE Avenue de Messine. JEANNE D'ARC Place Saint-Augustin. BALZAC Avenue de Friedland. BERLIOZ Square Berlioz. SEDAINE Square d'Anvers. DIDEROT Square d'Anvers. MAR

Monvel était, après Sedaine, l'homme qui savait le mieux prêter au patois de nos paysans des grâces piquantes; il les imitait

David avait pour parrain un homme qui, vers cette époque, lui donna des témoignages de la plus vive affection. Sedaine, secrétaire perpétuel de l'Académie d'architecture, et dont le nom est devenu assez célèbre dans les lettres, usa de son crédit pour faire donner un logement

Cette pièce est de Sedaine, en date de 1775, ou

Cette déformation du langage correct et littéraire est d'un usage fréquent au théâtre. C'est ce qu'on appelle patoiser. Il y a des exemples classiques et fameux de ce procédé. Molière y eut recours dans deux ou trois pièces. Les comiques secondaires, les auteurs poissards, les membres du Caveau en ont abusé. Les paysans d'opéra-comique, depuis Sedaine jusqu'

Je hais si peu les bourgeois, que j'ai suivi, dans le Mariage de Victorine, la donnée de Sedaine relativement a M. Vanderke, qui, de noble, s'est fait négociant, et qui a puisé l

Avec ces éléments et le talent dramatique dont la nature l'avait si richement pourvu, comment Sedaine n'aurait-il pas fait une comédie plaisamment intriguée, vive, spirituelle et réjouissante? Il n'y a pas manqué, vous pouvez le croire, et les habitués de l'Opéra-Comique ont accueilli comme une bonne fortune cette résurrection de l'esprit sans apprêt et de la franche gaieté d'autrefois.

«Quelqu'un, disait-il, me soutenait l'autre jour, au café de Foy, qu'il y avait de l'exagération dans la critique que je faisais des vers de Richard Coeur-de-Lion; et que, si négligés qu'ils fussent, ils ne l'étaient pas plus que ceux du commun des opéras comiques. Je le nie, répliquai-je; on ne trouve des vers pareils dans aucun autre opéra, pas même dans aucun autre opéra de Sédaine. Bien plus, on n'en trouverait pas de pareils parmi les vers qui servent d'enveloppe aux bonbons. Oh! pour cette fois, vous voulez rire. Je parle très-sérieusement. Vous mériteriez qu'on vous prit au mot. Essayez. Tout de bon? Tout de bon. Faites venir deux sacs de bonbons de deux fabriques différentes, l'un de pistaches