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Mis à jour: 19 juin 2025
Nous atteignons un plateau couronné d'oliviers; c'est l'emplacement des Souk-et-H'ad (marché du dimanche) des Aïth-Iraten. Nous nous y arrêtons pour contempler un paysage qui défie la plume et le pinceau: dans le fond de la vallée, l'Asif Aïssi et l'Asif Sébaou serpentent en capricieux méandre, ici rivières, l
Rome avait entouré la Berbérie d'un cercle militaire: au nord, le limes Tubusuptitanus vers Bougie, le limes Taugensis (Taourga) vers Dellys, et le limes Tigensis (Djemmaâ Saharidj), sur les bords du Sebaou; au sud, le limes Auziensis
En approchant de la mer, elle devient l'Oued Neça, la rivière des femmes: un trait que l'ironie des montagnards lance contre les Beni-Tour et les Beni-Slyem aux instincts plus pacifiques. L'Oued Sebaou coupe en deux le massif des montagnes qui vont en déclinant depuis les crêtes neigeuses du Djurjura jusqu'
Mais voici que le lendemain une terrible nouvelle se répand dans nos montagnes. Elle nous arrive de la vallée du Sebaou, propagée de pic en pic par la voix des amins. On nous dit que les soldats français viennent par milliers du côté de Tizi-Ouzou; que d'autres, derrière eux, franchissent déj
A peine sortis de Tizi-Ouzou, nous quittons la route carrossable pour prendre la traverse. Nous suivons l'Oued Sebaou dont le lit, très-large en cet endroit et presque partout
Cette confédération puissante des Flisset, maîtresse de l'une et l'autre rives, rendait la vallée inabordable pour les Turcs. Ce fut pour la rompre et enlever ainsi aux montagnards la clé de la plaine, que le pacha d'Alger fonda les Makhzen des Amaraoua, en les appuyant sur les bordjs de Sebaou et de Tizi-Ouzou. Après 1830, les Zmouls accoururent souvent dans la Mitidja pour s'y livrer, sur les premières fermes françaises,
Sur notre gauche, la contrée qui s'étend vers la mer et que traverse l'Asif Sebaou, quoique très-accidentée, n'offre pourtant pas un aspect aussi étrangement sauvage. Les pentes y sont moins raides, les plateaux plus nombreux. Il semble que la tourmente souterraine ne s'y soit pas déchaînée avec la même fureur. L
Il n'y avait de garnisons permanentes qu'aux bordjs Sebaou, Bour'ni, Bouïra, Sour-er-Rozlan (Aumale) et Zammorâ; et elles se réduisaient
On traversa le Sébaou, l'unique fleuve de la Kabylie, où les cigognes viennent faire leur toilette matinale et que le soleil du printemps n'avait pas encore desséché. L'air était pur, vierge, irrespiré, dans ces plaines immenses où, de loin en loin seulement, apparaissait la silhouette pâle d'un Arabe perché sur son mulet, ou celle plus massive d'une femme voilée portant un fardeau d'herbes.
L'immense abîme est baigné dans un brouillard éblouissant. Ce n'est pas de la vapeur d'eau, mais de la lumière condensée. Au fond de ces ondes transparentes qui forment comme un fleuve rayonnant entre les montagnes, apparaît la vallée du Sebaou, avec ses flaques d'eau, ses arbres et ses fleurs. C'est un lit d'or enrichi de diamants, d'émeraudes et de perles. Les grandes ombres des hauts pitons, projetées ç
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