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Mis à jour: 14 mai 2025
«Dans tous les cas, j'aimerai un jour ou l'autre, car on ne peut pas vivre sans aimer. En vérité! Où avez-vous pris ces idées, Reine? Mais, mon oncle, c'est la vie, répondis-je tranquillement. Voyez un peu les héroïnes de Walter Scott: comme elles aiment et sont aimées! Ah!... est-ce le curé qui vous a permis de lire des romans et qui vous a fait un cours sur l'amour?
Georges Scott visita encore Bounar-Hissar, et poussa jusqu'
Il faut le dire, auprès des tableaux pleins de vie et de chaleur de Scott, les croquis de lady Morgan ne sont que de pâles et froides esquisses. Les romans historiques de cette dame se laissent lire; les histoires romanesques de l'écossais se font admirer. La raison en est simple; lady Morgan a assez de tact pour observer ce qu'elle voit, assez de mémoire pour retenir ce qu'elle observe, et assez de finesse pour rapporter
«Aussi belle que la plus belle des héroïnes de Walter Scott! dis-je en la regardant avec admiration. Petite Reine, me dit-elle en s'asseyant sur le pied de mon lit, je viens causer avec toi. Tant mieux. Mais je ne suis pas bien éveillée et mes idées s'en ressentiront. Même s'il est question de mariage? reprit Blanche, qui connaissait déj
Ce ne sont plus désormais que comptes rendus dithyrambiques, ou peu s'en faut: Walter Scott était un confrère, mais c'était un étranger. Le jeune Victor Hugo donne l'exemple; il met délibérément l'
Nous pourrions multiplier ces observations et tâcher de faire voir en quoi le nouveau drame de sir Walter Scott nous semble défectueux, particulièrement dans le dénoûment; mais le romancier aurait sans doute pour se justifier des raisons beaucoup meilleures que nous n'en aurions pour l'attaquer, et ce n'est point contre un si formidable champion que nous essayerions avec avantage nos faibles armes. Nous nous bornerons
Sa quille a été forgée au Creusot, son arbre d'hélice chez Pen et C°, de Londres, les plaques de tôle de sa coque chez Leard, de Liverpool, son hélice chez Scott, de Glasgow.
Enhardie par la tentative de Géricault, la nouvelle école de peinture, travaillée bientôt par la triple influence du mysticisme allemand, des poésies sataniques de Byron et de l'érudition pittoresque de Walter Scott, trois systèmes opposés, mais d'accord au moins pour mettre l'antiquité hors de cause, la jeune école se sentit assez forte pour jeter définitivement l'anathème sur le système de David, pour le stigmatiser en lui donnant le nom classique, mot qui alors, et dans l'opinion des romantiques, ne voulait dire autre chose que faux, usé et hors de la sphère des idées reçues.
Oui, n'est-ce pas?... Mais pardon! je n'ai pas le temps de causer. Le Métis veut donc enlever la fille de la Flèche-Noire? Vous l'avez dit. Eh bien! le Métis ne fera pas cela. Hein? fit Scott en fronçant le sourcil et portant la main
Pour l'histoire, lire le chapitre vii, the Story of Sir William Wallace, dans les Tales of a Grand Father, de Walter Scott, le chapitre II du tom I de the History of Scotland de Tytler, p. 48-82, les chapitres XX, XXI, XXII, de Hill Burton. Voir aussi une vie populaire, Wallace, the hero of Scotland, par James Paterson.
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