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du piano me plaît infiniment. C'est hardi, neuf et bien pensé. Décidément, vous aimez Schumann. Page 3: votre morceau se relève définitivement. Je regrette beaucoup la mollesse de votre début... La période en triolets est excellente. Tout le développement de la page 4 me va complètement. Le trait première ligne page 5 très bon, mes éloges les plus sincères pour toute cette page. Pages 6 et 7 bravo! La page 8 est encore meilleure. Le point capital de votre morceau est pour moi la page 11 que je trouve très belle. Votre progression sur la pédale est excellente, c'est ému. C'est maître cela! Tout le reste va de soi et je n'ai plus d'observations

Mais le jour va paraître et toute la théorie légère s'écrie: «Ah!... voyez..... C'est le jour nouveau». Les trompettes sonnent. Quelle aube éblouissante! Quel cri strident est celui d'Ariel annonçant le réveil de la nature! L'orchestre, avec ses trémolos, introduits avec une certaine discrétion dans les œuvres de Schumann, et l'appel des trompettes, s'épanouit avec une ampleur magistrale. Puis, dans une phrase courte, qui a toute la grâce d'un lied printanier, Ariel engage les Sylphes

Schumann, le taciturne Schumann, est tout électrisé par l'Offertoire de mon Requiem; il a ouvert la bouche, l'autre jour, au grand étonnement de ceux qui le connaissent, pour me dire, en me prenant la main: Cet offertorium surpasse tout! Rien, en effet, n'a produit sur le public allemand une pareille impression.

Les lieder de Schubert, Mendelssohn, Robert Schumann, Meyerbeer, Mercadante, Rossini, Beethoven forment une riche collection, très utile

«Oh! Schumann, le désespoir, la jouissance du désespoir! Oui, la fin de tout, le dernier chant d'une pureté triste, planant sur les ruines du monde!... Oh! Wagner, le dieu, en qui s'incarnent des siècles de musique! Son oeuvre est l'arche immense, tous les arts en un seul, l'humanité vraie des personnages exprimée enfin, l'orchestre vivant

Un des grands talents du maître, talent inoubliable! c'était de faire comprendre, aimer, approfondir, lui-même chantant, exécutant au piano, les œuvres des maîtres. Il nous jouait souvent Schubert et Schumann, comparant leurs différents génies jusque dans les plus petites nuances.

Tel est Stephen Heller, une des belles figures de l'époque, le frère de Chopin en poésie musicale, et aussi le proche parent des grands maîtres de la symphonie, de Mendelssohn et de Schumann, par la nature des idées, l'art parfait de l'exposition et la science du détail.