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En examinant les langues finnoise et magyare, nous avons reconnu que les racines et les mots primitifs n'avaient aucune analogie, et nous avons dit, avec Schlœzer, que ces idiomes ne s'étaient pris mutuellement qu'un nombre restreint d'expressions. Nous avons signalé entre les deux langues des rapports qui existent d'ailleurs entre plusieurs langues asiatiques; mais nous avons vu que les caractères spéciaux de la langue hongroise, les particularités par lesquelles elle se distingue des autres idiomes, ne se retrouvent pas dans les langues finnoises. Nous avons cité l'expérience décisive de Sajnovicz, qui démontre que le hongrois et le finnois sont étrangers l'un

En résumé donc, les écrivains qui admettent entre les deux langues une affinité quelconque, soit en s'appuyant sur une prétendue ressemblance de mots, dont Schlœzer lui-même a fait justice, soit en supposant certains caractères, certaines analogies, qu'il a été impossible

Russische Annalen, in ihrer Slowenischen Grundsprache: erklært und übersetz von Aug. Lud. V. Schlœzer. Gœttingen, 1802. V. une brochure intitulée Abkunft der Magyaren.

On a remarqué que jusqu'ici il n'a pas été parlé des historiens hongrois. C'est parce qu'on les accuse de dire tout autre chose que la vérité. Nous avons consulté les historiens grecs, dont on n'a pas encore mis la véracité en doute, et les relations des voyageurs que les écrivains allemands s'empressent eux-mêmes de citer. Mais puisque nous sommes en droit de faire retomber sur Schlœzer le reproche d'inexactitude qu'il adressait