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Mis à jour: 26 juin 2025


Mais qu'est devenu le Nautilus ? A-t-il résisté aux étreintes du Maelstrom ? Le capitaine Nemo vit-il encore ? Poursuit-il sous l'Océan ses effrayantes représailles, ou s'est-il arrêté devant cette dernière hécatombe ? Les flots apporteront-ils un jour ce manuscrit qui renferme toute l'histoire de sa vie ? Saurai-je enfin le nom de cet homme ? Le vaisseau disparu nous dira-t-il, par sa nationalité, la nationalité du capitaine Nemo ?

Tu diras que tu ne le sais pas, et ce sera la vérité. reverrai-je monseigneur? je serai. Comment le saurai-je? Parce que tout le monde le saura. Avant huit jours on parlera de moi, je ferai des exemples, je vengerai le roi et la religion, et tu reconnaîtras bien que c'est de moi qu'on parle. J'entends. N'oublie rien. Soyez tranquille. Pars maintenant. Que Dieu te conduise. Va.

Oui, mais s'il s'en va! Eh bien! après, que saurai-je? le suivre, c'est banal. Il me semble qu'il y a mieux

Je ne dis pas que je suis sûr; mais j'espère. Et quand saurai-je si vous avez eu le bonheur de retrouver ce que vous cherchiez? Demain matin. En attendant, avez-vous besoin de moi? Aucunement, mon cher Remy. Vous ne voulez pas que je vous suive? Impossible. Soyez prudent, au moins, monseigneur. Ah! dit Bussy, la recommandation est inutile; je suis connu pour cela.

Mais qu'est devenu le Nautilus ? A-t-il résisté aux étreintes du Maelstrom ? Le capitaine Nemo vit-il encore ? Poursuit-il sous l'Océan ses effrayantes représailles, ou s'est-il arrêté devant cette dernière hécatombe ? Les flots apporteront-ils un jour ce manuscrit qui renferme toute l'histoire de sa vie ? Saurai-je enfin le nom de cet homme ? Le vaisseau disparu nous dira-t-il, par sa nationalité, la nationalité du capitaine Nemo ?

Le dernier mot de ce petit roman, pressenti, deviné plutôt qu'observé, créé peut-être par ma fantaisie de songeur mélancolique, le saurai-je jamais? et que m'importe! Il m'arrive pourtant d'y penser parfois plus qu'aux événements mêmes de ma propre vie, lorsque la saison est triste, comme maintenant, et lorsqu'il fait automne en nous et hors de nous, dans le ciel d'en haut et dans ce ciel intime de la rêverie qui a son azur, comme l'autre, et ses nuages... Je revois alors, aussi distinctement que si elle datait de la veille, la première des trois rencontres qui servirent de canevas

J'en frissonnerais encore si, après tout, le meilleur parti n'était pas d'en rire, puisque le mal est passé. MOI. Saurai-je enfin de quoi il s'agit? ERNEST. D'un énorme sanglier; et je vous réponds que c'était un terrible spectacle que de le voir accourir les soies hérissées et labourant la terre de ses formidables défenses.

LE PRINCE DE MAROC. Le premier est d'or, et porte cette inscription: Qui me choisira gagnera ce que beaucoup d'hommes désirent. Le second est d'argent, et porte cette promesse: Qui me choisira aura tout ce qu'il mérite. Le troisième est de plomb, avec une inscription aussi peu remarquable que le métal: Qui me choisira doit donner et risquer tout ce qu'il a. Comment saurai-je si je choisis bien?

À ces mots, toute remplie de doute: «Comment saurai-je, lui dit Sîtâ, que c'est bien Indra, le divin époux de Çatchî, que je vois présent ici devant mes yeux? Si tu es vraiment le roi même des Immortels, montre-moi sans tarder les signes auxquels on reconnaît un Dieu et dont j'ai entendu traiter mainte fois en présence de mon instituteur spirituel

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