United States or Antigua and Barbuda ? Vote for the TOP Country of the Week !


Monsieur de Lally a fait des requêtes, des mémoires, des discours, des tragédies, des satires, des panégyriques des morts, bien plus d'éloges des vivants. Je ne sais si rien de tout cela le mènera

[Note 455: Les Satires de Filelfo furent imprimées pour la première fois

L'ouvrage dont nous donnons une édition complète, revue sur les originaux, est une des satires les plus remarquables du dix-septième siècle.

Cependant l'homme qui a écrit ces violentes satires et bien d'autres que nous ne pouvons citer fut un croyant sincère. Cela ressort de l'ensemble de son oeuvre et aussi d'un bel acte de foi qui forme la première partie d'une de ses satires, et dont voici la traduction.

Baour de Lormian, qui vers le même temps publia ses premières Satires, eut alors avec moi un tort du même genre: il m'honora d'une mention dans l'un de ses mots, c'est ainsi qu'il les intitulait. J'attribuai cette agression, que je n'avais pas provoquée,

[19: «Si je relis les Satires (les satires de Chénier), disait M. de Chateaubriand dans un discours qu'il avait composé pour sa réception

«Je vois les clercs essayer de toutes leurs forces de mettre le monde en leur puissance... et ils y arrivent en prenant ou en donnant, par hypocrisie ou pardon, par le boire ou le manger, avec l'aide de Dieu ou avec l'aide du diableMoines blancs ou moines noirs, prêtres de toute robe et de tout ordre sont compris dans ces satires.

Ses nouvelles les plus connues, traduites en russe et en allemand, sont: Le Docteur Alpassi, Mordechai Kisovitz, Sidonie, Les origines et la fin d'une querelle, etc. Brandstaetter a également écrit des satires en vers. Il a beaucoup de points de ressemblance avec le peintre des mœurs juives en allemand, Karl Emil Franzos.

Le Régent, loin de démentir les bruits qui couraient, les satires, faisait, disait plutôt ce qui pouvait les confirmer. Vers avril 1718, il dit, d'un coeur trop plein, un mot que ne comprit pas Saint-Simon: Que les fameux soupers l'ennuyaient désormais, qu'il aimait mieux vivre en famille.

Henri Corneille Agrippa, astrologue de Louise de Savoie, était encore un des plus célèbres de l'époque. Malheureusement, il lui manquait la foi; lui-même appelle sa science l'art de moucher les écus. Chassé par Louise de Savoie, pour avoir osé lui prédire des choses déplaisantes, il s'en vengea en faisant des satires il l'appelait vilaine Jézabel.