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Mis à jour: 28 octobre 2025
La Sarriette vivait l
Cependant, la Sarriette et madame Lecoeur étaient accourues. Quand elles eurent demandé une explication, la marchande de beurre se mit
Mais madame Lecoeur et la Sarriette poussaient des exclamations d'étonnement. Ce n'était pas possible. Qu'avait-il donc commis pour aller au bagne? aurait-on jamais soupçonné cette madame Quenu, cette vertu qui faisait la gloire du quartier, de choisir un amant au bagne?
Dès le lendemain, une rumeur sourde courut dans les Halles. Madame Lecoeur et la Sarriette tenaient leurs grands serments de discrétion. En cette circonstance, mademoiselle Saget se montra particulièrement habile: elle se tut, laissant aux deux autres le soin de répandre l'histoire de Florent. Ce fut d'abord un récit écourté, de simples mots qui se colportaient tout bas; puis, les versions diverses se fondirent, les épisodes s'allongèrent, une légende se forma, dans laquelle Florent jouait un rôle de Croquemitaine. Il avait tué dix gendarmes,
À la vérité, elle ne traversait le pavillon aux fruits que pour racoler la Sarriette. Celle-ci ne put résister
Ensuite, il plaisanta, disant que la politique ne le gênait pas, qu'il avait fini par s'y accoutumer, dans les brasseries et dans les ateliers. À ce propos, il parla d'un café de la rue Vauvilliers, le café qui se trouvait au rez-de-chaussée de la maison habitée par la Sarriette. Cette salle fumeuse, aux banquettes de velours éraillé, aux tables de marbre jaunies par les bavures des glorias, était le lieu de réunion habituel de la belle jeunesse des Halles. L
La Sarriette fit un mouvement, comme pour l'arrêter; mais sa tante lui prit le bras, la ramena, en lui soufflant
La Sarriette avait tendu les mains, avec un cri de joie.
Dans la Faute de l'Abbé Mouret, le Paradou fournit inépuisablement de décors assortis l'amour qui s'y passe. L'abbé renaît avec le printemps; c'est sous une pluie de roses pétales, qu'Albine dévoile ses chairs rosées; le fauve hérissement des plantes grasses exacerbe les désirs du couple, auquel il faut l'ombre d'un arbre inconnu, lascif et mystique, pour se mêler; et c'est en une agonie de fleurs qu'Albine expire. Claire Méhudin, montrant ses viviers, en est douée d'aspects fluviatiles; la Sarriette est savoureuse comme les fruits qui s'étalent autour d'elle, et seulement dans l'atmosphère empestée d'une fromagerie, Mlle Saget et Mme Lecoeur peuvent échanger d'âcres médisances. La serre où se répète l'inceste de Maxime et de Renée est embrasée, lascive et délictueuse. Coupeau revenant pour la première fois aviné chez Gervaise débraillée, passe par la puanteur du linge que l'on recompte. Dans Une Page, le ciel au-dessus de Paris reflète patiemment l'humeur de l'héroïne, entre toutes les habitantes élues. Nana dévêtue dans un boudoir, les bonnes de Pot-Bouille, affenêtrée sur leur arrière-cour fétide, accomplissent dans un lieu convenable des actes appropriés. Ces scènes, ces personnages et d'autres sont situés dans le milieu qui peut les rendre plus significatifs, plus librement développés. Que ce procédé revient
La Sarriette était adorable, au milieu de ses fruits, avec son débraillé de belle fille. Ses cheveux frisottants lui tombaient sur le front, comme des pampres. Ses bras nus, son cou nu, tout ce qu'elle montrait de nu et de rose, avait une fraîcheur de pêche et de cerise. Elle s'était pendu par gaminerie des guignes aux oreilles, des guignes noires qui sautaient sur ses joues, quand elle se penchait, toute sonore de rires. Ce qui s'amusait si fort, c'était qu'elle mangeait des groseilles, et qu'elle les mangeait
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