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Mis à jour: 15 mai 2025


Sarolta S

Sarolta revint ensuite chez sa mère qui n'avait aucune action sur sa fille et qui dut permettre que sa Sarolta redevienne S

Nous louâmes, Sarolta et moi, un coquet appartement

Depuis environ dix ans, Sarolta a vécu toujours loin de sa famille et toujours en homme. Elle eut un grand nombre de liaisons avec des dames, fit des voyages avec elles, dépensa beaucoup d'argent et contracta des dettes. En même temps, elle se consacrait aux travaux littéraires et devint le collaborateur très apprécié de deux grands journaux de la capitale.

Un matin, Sarolta était dans ma chambre et nous mangions du gâteau la fenêtre ouverte. Nous en jetions les miettes aux rouges-gorges, qui venaient les picoter jusque dans notre main. Une faible brise agitait les arbres, le parfum des lilas nous enivrait. J'étais en chemise et je m'appuyais sur l'épaule de Sarolta.

Sarolta et moi, ainsi que je vous l'ai dit dans le précédent chapitre, avions décidé d'aller

Ce fut l'été de 1887, pendant un séjour dans une station balnéaire, que Sarolta fit la connaissance de la famille d'un fonctionnaire très estimé, M. E... Aussitôt Sarolta devint amoureuse de Marie, la fille de ce fonctionnaire, et en fut aimée. La mère et la cousine de la jeune fille essayèrent de la détourner de cette liaison, mais vainement. Pendant l'hiver, les deux amoureux échangèrent des lettres. Au mois d'avril 1888, le comte S... vint faire une visite, et au mois de mai 1889, il atteignit le comble de ses désirs: Marie qui entre temps avait quitté sa place d'institutrice, fut unie par un pseudo-prêtre hongrois

Les écrits de Sarolta dénotent une vaste connaissance des littératures de toutes les langues: il y a l

Sa passion pour les dames était très variable. Elle n'avait pas de constance en amour. Une seule fois une de ses liaisons a duré trois ans. Il y a plusieurs années que Sarolta fit au château de G... la connaissance de Mme Emma E... qui avait dix ans plus qu'elle.

Examen personnel. La première rencontre que les médecins légistes eurent avec Mlle S..., fut en quelque sorte un embarras pour les deux parties: pour les médecins, parce que la tournure virile, peut-être exagérée, de S..., leur en imposait; pour elle, parce qu'elle craignait d'être déshonorée par le stigmate de la moral insanity. Une figure intelligente, pas laide, qui malgré une certaine délicatesse des traits et une certaine exiguïté des parties, aurait eu un caractère masculin très prononcé, s'il n'y avait pas absence totale de moustaches, ce que S... regrettait beaucoup. Il était difficile, même pour les médecins légistes, malgré les vêtements féminins de Sarolta, de se figurer sans cesse avoir devant eux une dame: par contre, les rapports avec S

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