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Mais Ney accourut; il lança tout au travers des bois et sur le flanc de cette colonne russe, Doumerc et sa cavalerie, qui la défoncèrent, lui prirent deux mille hommes, sabrèrent le reste, et décidèrent par cette charge vigoureuse, du combat qui traînait indécis. Tchitchakof, vaincu par Ney, fut repoussé dans Stakowa.

Affolés par le fracas de la détonation, ils se sabrèrent, et, malgré tous les efforts du cocher et des valets, rompirent leurs harnais et brisèrent les brancards. On put les maîtriser

Aussitôt se présentèrent trente des plus rapides Cosaques pour attirer Andry vers le bois. Redressant leurs hauts bonnets, ils lancèrent leurs chevaux pour couper la route aux hussards, prirent en flanc les premiers rangs, les culbutèrent, et, les ayant séparés du gros de la troupe, sabrèrent les uns et les autres. Alors Golokopitenko frappa Andry sur le dos du plat de son sabre droit, et tous,

L'Empereur les regardait passer pour sortir; ça montait raide et l'on ne peut se figurer la rapidité de cette cavalerie pour franchir la montagne; la ville était pavée. Nos intrépides cuirassiers arrivèrent sur les Prussiens et les sabrèrent sans faire de prisonniers; ils furent renversés sur leur première ligne avec une perte considérable; la campagne était commencée.

Cependant le combat resta quelque temps incertain. Les Anglais, étonnés d'abord de l'impétuosité de Corcoran, mais bientôt rassurés par le mépris que leur inspirait l'armée mahratte, se rallièrent promptement, et, malgré la chaleur du soleil, firent preuve d'une rare intrépidité. En peu d'instants, ils sabrèrent les premiers rangs de la cavalerie hindoue, et Corcoran, emporté par son ardeur, se trouva enfermé dans leurs rangs. Déj

Les gardes se déployèrent en éventail sur la place et, filant au galop, sabrèrent tout ce qui se trouvait sur leur passage. Il y eut une panique, un reflux de la foule vers les rues voisines. Un certain nombre de curieux qui s'étaient hissés au rebord des vasques des fontaines encadrant l'obélisque, culbutèrent dans l'eau et prirent un bain qui, vu la saison, ne leur procura guère d'agrément. Mon ami et moi nous décampions comme les autres. Nous nous étions garés de la charge sous les premiers arbres des Champs-