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Mis à jour: 21 juillet 2025
Les armes et les munitions ne nous manquent pas, répondit le major; nous avons ici plus de deux cents milliers de poudre, des pistolets, des sabres et des lances
Car lié sur la barque et saignant sous l'entrave, Un vieux Scheikh regardait d'un air stupide et grave Les minarets pointus qui tremblaient dans le Nil. Le Samouraï D'un doigt distrait frôlant la sonore biva, À travers les bambous tressés en fine latte, Elle a vu, par la plage éblouissante et plate, S'avancer le vainqueur que son amour rêva. C'est lui. Sabres au flanc, l'éventail haut, il va.
Mais l'imagination est une folle et je me suis laissé parfois bercer par cette pensée pacifique: un Saladin dévorant, quelque beau jour, tous les sabres de l'univers. On garderait, bien entendu, les panaches et les épaulettes qui ne font de mal
Fort bien, fort bien, lieutenant d'Ahlefeld, dit Ordener avec impatience, vous n'êtes point encore capitaine, ni le fils du vice-roi colonel; et les sabres sont toujours des sabres. Et les rustres toujours des rustres, quoi qu'on fasse pour les élever jusqu'
»Ma femme jette un cri; l'inconnu se lève, nos sabres s'engagent, et je le jette mort
«Vite, vite!» crièrent quelques voix autour de lui. Les sabres s'accrochaient aux brides, les éperons s'entrechoquaient, et les hussards quittèrent leurs montures, ne sachant eux-mêmes ce qu'ils allaient faire. Quelques-uns se signaient. Rostow ne regardait plus son chef, il n'en avait plus le temps.
Eh bien! s'ils sont riches, et ils le sont, j'en suis sûr et je m'y connais, autant garder la rançon pour nous que de la partager avec Pinard et Carrier! C'est une idée, cela! J'en ai toujours, Spartacus! Et puis nous serons libres d'en finir quand nous voudrons; nous avons nos sabres et nos pistolets. Et nous sommes sept, tandis qu'ils ne sont que trois.
Qu'on le sabre! je l'ordonne! répéta Rostoptchine, blême de fureur. Les sabres hors du fourreau!» commanda l'officier. À ces mots la foule ondula comme une vague, et poussa les premiers rangs jusque sur les degrés du péristyle. Le jeune gars se trouva ainsi porté près de Vérestchaguine; son visage était pétrifié et sa main toujours levée.
Des bandes, lancées dans les rues par Hébert, par Chaumette, par Guzman, par Varlet, les unes armées de piques, les autres de sabres, quelques-unes de haches, toutes portant des torches, passaient en criant: «Mort aux traîtres! Mort aux girondins! Mort aux complices de Dumouriez!»
Ces figures aussi ridicules qu'atroces l'environnent en un moment: les sabres, les fusils brillent autour d'elle; elle ne songe qu'
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