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Mis à jour: 21 juin 2025
Nous nous mettons en marche, et quand le gros de la colonne est dépassé, car elle s'éparpille bientôt dans toutes les directions vers les points des rives les mieux boisés, nous commençons
Mais c'est l'après-midi surtout que la cabane est charmante. Par nos belles journées d'hiver méridional, j'aime rester tout seul près de la haute cheminée où fument quelques pieds de tamaris. Sous les coups du mistral ou de la tramontane, la porte saute, les roseaux crient, et toutes ces secousses sont un bien petit écho du grand ébranlement de la nature autour de moi. Le soleil d'hiver fouetté par l'énorme courant s'éparpille, joint ses rayons, les disperse. De grandes ombres courent sous un ciel bleu admirable. La lumière arrive par saccades, les bruits aussi; et les sonnailles des troupeaux entendues tout
Mais il faut dire, d'autre part, qu'avant l'époque d'Euripide, le génie athénien, même dans Eschyle, était demeuré étroit et cloîtré: il avait en élévation ce qui lui manquait en étendue, comme les vieilles villes enserrées de remparts. À l'époque philosophique d'Euripide, le génie grec rompt ses barrières et s'éparpille dans un champ moral bien plus vaste; il s'élance dans toutes les directions avec une généreuse audace; il entreprend sur tous les points les défrichements et les conquêtes. Si Euripide est moins parfait comme poëte dramatique, c'est parce que, comme philosophe, son élan est illimité. Il a déj
Un demi-quart de lieue plus loin que ce cabaret, il arriva au fond d'un petit vallon où il y a de l'eau qui passe sous une arche pratiquée dans le remblai de la route. Le bouquet d'arbres, clairsemé mais très vert, qui emplit le vallon d'un côté de la chaussée, s'éparpille de l'autre dans les prairies et s'en va avec grâce et comme en désordre vers Braine-l'Alleud.
La vasque qui retombe ou la gerbe qui mouille, La nappe qui décroît, se gonfle ou diminue, Et la poussière humide irisant la statue Dont s'emperle la mousse ou s'avive la rouille; Toute la fête d'eau, de cristal et de joie Qui s'entrecroise, rit, s'éparpille et poudroie, Dans le parc enchanté s'est tue avec le soir;
Mais c'est l'après-midi surtout que la cabane est charmante. Par nos belles journées d'hiver méridional, j'aime rester tout seul près de la haute cheminée où fument quelques pieds de tamaris. Sous les coups du mistral ou de la tramontane, la porte saute, les roseaux crient, et toutes ces secousses sont un bien petit écho du grand ébranlement de la nature autour de moi. Le soleil d'hiver fouetté par l'énorme courant s'éparpille, joint ses rayons, les disperse. De grandes ombres courent sous un ciel bleu admirable. La lumière arrive par saccades, les bruits aussi; et les sonnailles des troupeaux entendues tout
Suivons la foule qui s'éparpille pour regagner ses tentes et ses caches plantées des deux côtés du chemin. Ce vaste plateau éclatant de blancheur et couvert de caches, c'est un lac. Qui s'en douterait? Pris de glace, enseveli sous quelques mètres de neige durcie, on a déblayé la neige, par places, percé la glace et atteint l'eau, qui chaque nuit gèle et chaque matin est remise
Au cours de ces ardentes paroles, une éclaircie magique s'ouvre dans l'âme enfiévrée de Gilbert Delorme. La rage, en lui, s'éparpille. Il perçoit, dans la flamme dont l'imagination de son enfant brûle, une possibilité extraordinaire et prodigieuse. Croyant aux ressources illimitées de la nature, il se rappelle que la science en ignore presque tout, que l'auto-suggestion en est un des pouvoirs admirables et féconds. Mais oui, pourquoi pas? La volonté, surchauffée jusqu'au paroxysme, ne pourrait-elle pas triompher du mal? Pourquoi ne pas exploiter ce délire d'enthousiasme? Il était impossible qu'elle crût vraiment
Surtout les soirs d'été: la rougeur du couchant Se fond dans le gris bleu des brumes qu'elle teinte D'incendie et de sang; et l'angélus qui tinte Au lointain semble un cri plaintif se rapprochant. Le vent se lève chaud et lourd, un frisson passe Et repasse, toujours plus fort, dans l'épaisseur Toujours plus sombre des hauts chênes, obsesseur, Et s'éparpille, ainsi qu'un miasme, dans l'espace.
La première des roses, De ses lèvres mi-closes, Rit au premier beau jour; La terre bienheureuse S'ouvre et s'épanouit; Tout aime, tout jouit. Hélas! j'ai dans le coeur une tristesse affreuse. Les buveurs en gaîté, Dans leurs chansons vermeilles, Célèbrent sous les treilles Le vin et la beauté; La musique joyeuse, Avec leur rire clair, S'éparpille dans l'air.
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