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Mis à jour: 6 juillet 2025
Tous, hommes et chevaux, semblaient être poussés par une puissance invisible dans toutes les directions, et n'avoir qu'un désir, celui de se dépasser les uns les autres; tous se bousculaient, se heurtaient, s'injuriaient, se montraient les poings et les dents, et, sur chaque visage, on lisait cette expression dure et résolue qui, le matin même, avait fait une si vive impression sur l'esprit de Pierre, quand il l'avait vue empreinte sur la figure du caporal.
Les uns venaient du voisinage, les autres des quartiers excentriques. Ils se heurtaient dans l'escalier, se bousculaient, s'injuriaient, surpris de s'y trouver si nombreux. La cuisinière avait accepté le premier vol-au-vent, bien qu'elle ne l'eût pas commandé, puis deux, puis trois; mais devant ce débordement de vestes blanches, elle alla quérir son maître. On voit la scène.
Les fuyards remontaient encore. Hussards cuirassés de brandebourgs, étreignant des genoux leurs petits chevaux poilus, soldats du 13e Cavalerie sur leurs hautes bêtes pommelées. Le sabre en travers des fontes, ils s'injuriaient, commandaient, frappaient
De temps en temps une bâillée, une toux, le froissement d'une feuille déployée, et, planant sur ce calme de salle d'étude, debout et immobiles, le dos au poêle, solennels tous les deux et sentant pareillement le moisi, les deux pontifes de l'histoire officielle, Schwanthaler et Astier-Réhu, qu'une fatalité singulière avait mis en présence au sommet du Rigi, depuis trente ans qu'ils s'injuriaient, se déchiraient dans des notes explicatives, s'appelaient «Schwanthaler l'âne bâté, vir ineptissimus Astier-Réhu».
La semaine n'avait été qu'un orage aux formidables éclats. Les journaux s'injuriaient; les journalistes se battaient
En effet, les détenus, bien qu'embarrassés par leurs fers, allaient et venaient librement dans la prison; ils s'injuriaient, chantaient, travaillaient, fumaient leur pipe et buvaient de l'eau-de-vie (les buveurs étaient pourtant assez rares); il s'organisait même de nuit des parties de cartes en règle. Les travaux ne me parurent pas très-pénibles; il me semblait que ce n'était pas la vraie fatigue du bagne. Je ne devinai que longtemps après pourquoi ce travail était dur et excessif; c'était moins par sa difficulté que parce qu'il était forcé, contraint, obligatoire, et qu'on ne l'accomplissait que par crainte du bâton. Le paysan travaille certainement beaucoup plus que le forçat, car pendant l'été il peine nuit et jour; mais c'est dans son propre intérêt qu'il se fatigue, son but est raisonnable, aussi endure-t-il moins que le condamné qui exécute un travail forcé dont il ne retire aucun profit. Il m'est venu un jour
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