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Mis à jour: 6 mai 2025
Les culasses de blé s'affaissent et se tassent comme des endormis, le long des murs. Il y a dans l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'est ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui font le pain, viennent s'approvisionner. J'ai le respect du pain. Un jour je jetais une croûte, mon père est allé la ramasser.
En dix jours le Nabab avait vieilli de vingt ans. Ces violentes natures méridionales, si elles sont riches en élans, en jets de flammes irrésistibles, s'affaissent aussi plus complètement que les autres. Depuis son invalidation, le malheureux s'était enfermé dans sa chambre, les rideaux tirés, ne voulant plus même voir le jour ni dépasser le seuil au del
Quand une volaille n'a pas été vendue en son temps, qu'arrive-t-il? Les pattes, d'abord si noires et si lustrées, s'affaissent et pâlissent, le ton en devient terne et triste, signe révélateur qui éloigne
Les nuits suivront les jours et se succéderont, Avant que leurs regards et leurs bras ne s'abaissent, Et leurs pieds, de longtemps, ne se raffermiront. Tous nos palais sous eux s'éteignent et s'affaissent; Leur âme,
Alors son front se couvre de rides, ses noires moustaches qui atteignaient ses épaules s'affaissent. Sa compagne, instruite du sujet de sa douleur, lui reproche l'orgueil qui l'a poussé de s'allier aux superbes Latins. Ivo, blessé de ces reproches, s'emporte comme un feu vivant. Il ne veut plus entendre parler de fiançailles et congédie les convives.
Je regardai, et je crus entrevoir je ne sais quel grand édifice; comme lorsqu'un épais brouillard ou la nuit obscure s'affaissent dans les campagnes, on voit de loin un moulin agitant ses bras au souffle des vents. J'avançais; et pour me dérober
Il eut un de ces accès de désespérance où l'âme et le corps s'affaissent en même temps, s'entraînant l'un l'autre dans leur descente. Il en arriva
Le Scalpeur et le Serpent s'affaissent, mortellement trappés; le bras gauche de l'Oeil Sanglant retombe inerte, fracassé par une balle. Courage! braves Yakangs crie alors une voix retentissante, courage! les amis viennent! Et trois nouveaux coups de feu abattent encore trois des assaillants. Le Marcheur! s'écrièrent les Enfants perdus avec un accent de rage mêlé de crainte.
À ces mots, je crus qu'elles avaient tenu conseil, et qu'elles avaient résolu de se défaire de moi. J'avais bien entendu dire que cela se pratiquait quelquefois dans les couvents de certains religieux, qu'ils jugeaient, qu'ils condamnaient et qu'ils suppliciaient. Je ne croyais pas qu'on eût jamais exercé cette inhumaine juridiction dans aucun couvent de femmes; mais il y avait tant d'autres choses que je n'avais pas devinées et qui s'y passaient! À cette idée de mort prochaine, je voulus crier; mais ma bouche était ouverte, et il n'en sortait aucun son; j'avançais vers la supérieure des bras suppliants et mon corps défaillant se renversait en arrière; je tombai, mais ma chute ne fut pas dure. Dans ces moments de transe où la force abandonne, insensiblement les membres se dérobent, s'affaissent, pour ainsi dire, les uns sur les autres; et la nature, ne pouvant se soutenir, semble chercher
Le chemin de fer va nous supprimer plus d'un sanctuaire, ne le maudissons pas. Rien n'est stable dans la nature, même quand l'homme la respecte. Les arbres unissent, les rochers se désagrègent, les collines s'affaissent, les eaux changent leurs cours, et, de certains paysages aimés de mon enfance, je ne retrouve presque plus rien aujourd'hui. L'existence d'un homme embrasse un changement aussi notable dans les choses extérieures que celui qui s'opère dans son propre esprit. Chacun de nous aime et regrette ses premières impressions; mais, après une saison de dégoût des choses présentes, il se reprend
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