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Mis à jour: 17 mai 2025
Dans la 22e scène de cette pièce, Kleist nous présente son héroïne: elle est prise d'une rage de volupté et d'assassinat, déchire en morceaux Achille, qu'elle avait poursuivi dans son rut et dont elle s'est emparée par la ruse.
Tes bras qui s'étalaient au mur de ta jeunesse, Tel qu'un cep glorieux vêtu de vins et d'or, Au long de tes flancs creux lignent leur sécheresse, Pareils aux bras osseux et sarmenteux des morts. Tes seins, bouquets de sève étalés sur ton torse, Iles de rouge amour sur un grand lac vermeil, Délustrés de leur joie et vidés de leur force, Sèchent, eux que mon rut levait
Maintenant il n'avait plus de timidité, il était plein du rut qui chauffait le fumier des poulaillers, sous la voûte écrasée, noire d'ombre.
Hogi et Rut cependant étaient morts, et,
Ce virtuose va s'étaler de plus en plus dans l'oeuvre de M. Richepin. Ce sera le virtuose du rut, de l'athéisme nu, du matérialisme cru, et ce prestigieux versificateur sera de plus en plus comme ce personnage de Rabagas qui, s'il connaissait un mot plus cochon que «cochon», l'emploierait avec allégresse. M. Richepin cherchera souvent ce mot-l
Le dur et chaud contact de la vieille nourrice lui caressait la poitrine, tandis que les rayons du père de l'universelle vie tombaient comme des flammes sur sa tête exaltée. Des atomes embrasés scintillaient dans l'air et des fourmillements silencieux s'agitaient dans les gerbes. Les pierres qu'il touchait brûlaient ses jambes et il lui semblait entendre autour de lui des tressaillements et des soupirs. La terre en rut se fécondait sous les embrassements du soleil. L'incendie gagnait ses sens, il se dressa tout d'un coup, et, après avoir hésité quelques secondes, son long bâton de pasteur
Rut et son frère Hogi s'en revinrent donc triomphants de l'alting. En route, ils entrèrent chez un paysan pour y passer la nuit. Trempés jusqu'aux os par la pluie, qui n'avait cessé de tomber tout le jour, ils s'étaient assis près d'un grand feu dans une pièce où deux petits garçons et une fillette s'amusaient en babillant sans rime ni raison, comme c'est le propre de cet âge. Tout
Tout enfant, la fille d'Hogi avait annoncé une beauté rare, et fait l'admiration de tous ceux qui la voyaient. Son oncle Rut convenait comme les autres que, pour la majesté de la taille, l'harmonie des lignes du visage, la finesse et l'abondance des cheveux, elle n'avait peut-être pas sa pareille en Islande. Seulement il lui trouvait,
«En floréal, cet énorme buisson, libre derrière sa grille et dans ses quatre murs, entrait en rut dans le sourd travail de la germination universelle, tressaillait au soleil levant presque comme une bête qui aspire les effluves de l'amour cosmique et qui sent la sève d'avril monter et bouillir dans ses veines, et, secouant au vent sa prodigieuse chevelure verte, semait sur la terre humide, sur les statues frustes, sur le perron croulant du pavillon et jusque sur le pavé de la rue déserte, les fleurs en étoiles, la rosée en perles, la fécondité, la beauté, la vie, la joie, les parfums.
Alors par au dessus des champs, un large vent, Un vent du Sud, traînant, voluptueux, oppresse, Avec le va-et-vient de son souffle énervant, La campagne vautrée en sa lourde paresse. Un tressaillement d'or court au ras des moissons, La terre sent l'assaut du rut monter en elle, Son sol générateur vibrer de longs frissons, Et son ventre gonfler de chaleur éternelle.
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