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Mis à jour: 16 novembre 2025


Dieu seul peut le savoir, papa, répondit Berg. L'armée est animée d'un courage héroïque, et ses chefs se sont rassemblés en conseil; la décision est encore inconnue. Je puis seulement vous dire, papa, en termes généraux, qu'il ne saurait y avoir de paroles assez éloquentes pour décrire la valeur véritablement antique dont les troupes russes ont fait preuve dans le combat du 7. Je vous dirai donc, papa, poursuivit-il en se frappant la poitrine comme il l'avait vu faire

Il faut le dire, les Russes de toutes les classes conspirent avec un accord merveilleux

Il chercha les Russes, avec toutes les forces de ses six cents chevaux, avec toute l'attention, la fougue et la ténacité de ses six cents hommes. L'ennemi fuyait toujours. On marcha. On contourna les monts. On passa les ruisseaux sur des ponts de bois. On poursuivit le Temps

Aussitôt un détachement de hussards russes nous entoura avec d'affreux jurements. «Sors, compère du diable, me dit un maréchal des logis aux épaisses moustaches. Nous allons te mener au bain, toi et ta bourgeoise

Les vrais Russes

Nous commençâmes par habiller nos femmes russes en dames françaises, c'est-

Au moment les débris du maréchal Davoust passaient, les grenadiers hollandais de la Garde venaient d'abandonner une position importante que les Russes avaient aussitôt couverte d'artillerie, qui fut dirigée contre nous. De ce moment, notre position ne fut plus tenable. Un régiment, je ne me rappelle plus lequel, fut envoyé contre, mais il fut obligé de se retirer; un autre régiment, le premier des voltigeurs, qui était devant nous, fit un mouvement

En effet, Napoléon n'avait pas pu prévenir les Russes dans Vitepsk, il voulut les y forcer; mais ceux-ci, après y être entrés par la rive droite de la Düna, avaient traversé cette ville, et venaient au-devant de lui, pour défendre les longs défilés qui la couvrent. Le 25 juillet, Murat marchait vers Ostrowno avec sa cavalerie.

Du reste, c'est mon armée seule qui a eu quelques engagements, qui a arrêté l'ennemi; il n'y a pas eu un coup de fusil tiré depuis mon départ, et je crains bien qu'il n'y en ait pas de sitôt, car les Russes ont déclaré vouloir toujours se retirer.

Nous entrâmes par un temps des plus rigoureux, en décembre, dans un pays tout désert, couvert de bois, avec des routes de sable. On ne trouva personne dans ces malheureux villages; les Russes nous faisaient place et nous trouvions leurs bivouacs déserts. On nous fit marcher la nuit, et nous arrivâmes près d'un château

Mot du Jour

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