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Mis à jour: 4 juillet 2025


La royauté, telle qu'elle était sortie de l'Assemblée constituante, n'était plus qu'une ombre, et une ombre qui allait chaque jour s'effaçant. Il fallait donc, avant tout, ne pas compromettre ce fragile pouvoir; et on le compromettait, en essayant de lui rendre avant le temps, la réalité qu'il avait perdue. Ceux qui, tel qu'il était, voulaient s'en montrer encore effrayés, ne cherchaient qu'un prétexte pour le détruire totalement. Il fallait ne leur en offrir aucun. Ce n'était pas assez que le roi imitât le roseau qui triomphe de l'effort des vents parce qu'il ne leur résiste pas: il fallait que ses serviteurs du dehors et du dedans se vouassent

En 1812, la royauté était absente; en 1820, elle était vaincue et captive. Tout se faisait sans elle, malgré elle, contre elle, parce qu'on était fondé

Il existe un fort bon portrait gravé de la belle, vaillante, infortunée Liègeoise, qui, au 5 octobre, eut la grande initiative de gagner le régiment de Flandre, de briser l'appui de la royauté, qui, au 10 août, parmi les premiers combattants, entra au château l'épée

Elle a la sombre jalousie de sa grandeur et de sa pureté. Aucun compromis. Aucune concession. Aucune diminution. Elle exclut en haut la royauté et en bas l'esclavage. Avoir des esclaves, c'est mériter d'être esclave. L'esclave au-dessous de vous justifie le tyran au-dessus de vous.

Cette royauté ainsi réduite aux fonctions sacerdotales continua, la plupart du temps,

Le témoignage de d'Argenson est d'autant plus grave qu'il a un culte ardent et sincère de la royauté. Il s'obstine

Avait- il besoin, lui, républicain, du luxe de la royauté... Pour le palais du gouvernement, il fallait des ornements graves et sévères, des marbres, des statues; seulement, quelles seraient ces statues? C'était au premier consul de les désigner. Bonaparte les choisit dans trois grands siècles et dans trois grandes nations: chez les Grecs, chez les Romains, chez nous et chez nos rivaux.

Alors, c'était la mort de Henri III. Alors, c'était la royauté de Guise... le triomphe de la Ligue... l'entrée en France d'Alexandre Farnèse... la marche sur l'Italie, l'écrasement de Sixte-Quint... la souveraineté assurée sur le monde chrétien!...

Jusqu'ici Gauvain n'avait vu dans Lantenac que le combattant barbare, le fanatique de royauté et de féodalité, le massacreur de prisonniers, l'assassin déchaîné par la guerre, l'homme sanglant. Cet homme-l

«Nous avons représenté aux ministres le danger d'abaisser la royauté, le devoir qu'ils avaient contracté de tout tenter pour arrêter un mal déj

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