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Les Morlaques , dans une certaine mesure, rappellent Bernardin de Saint-Pierre; on y reconnaît également, avons-nous besoin de le dire? l'influence de Rousseau.

C'est le don propre de Rousseau. Pour la première fois depuis plus de cinquante ans, quand il parut, on put lire un livre comme un discours qui saisit l'auditeur, le captive, l'entraîne, le porte avec soi, et, sans le laisser reposer, le mène au but toujours poursuivi.

M. Gustave Lanson a été plus heureux. Vous devez lire, dans son histoire de la Littérature française, son chapitre sur Rousseau, si vous aimez Rousseau avec intransigeance, et si vous désirez croire

Ses vrais amis étaient ses livres. La philosophie du siècle envahissait les couvents. Lectures fortuites et peu choisies, Raynal pêle-mêle avec Rousseau. «Sa tête, dit un journaliste, était une furie de lectures de toutes sortes

Le génie de madame de Staël a été successivement dominé par deux maîtres et deux idées: jusqu'en 89 par Rousseau, et, depuis, par Montesquieu.

Tout de même, cette impression traîne bien! Rousseau retombe malade. Cette fois il croit avoir la pierre. Le maréchal lui amène le célèbre frère Côme. Le frère Côme (Rousseau, je le répète, n'a jamais eu qu'

Laidron. Fille ou femme laide. Ce mot est du genre féminin et de trois syllabes; dites, une laideron. J. J. Rousseau a fait cette faute dans ses confessions. Laisser. Je me suis laissé dire; dites, on m'a appris, ou on m'a dit. Lait de carpe. Cette partie des entrailles de poissons mâles, qui ressemble

On voit assez que Diderot a été l'ami et le premier inspirateur de Rousseau. Le retour

Surgis, Volta! dompte en ton aire Les Fluides, noir phlégéton! Viens, Franklin! voici le Tonnerre. Le Flot gronde; parais, Fulton! Rousseau! prends corps

Si Robespierre avait loué Rousseau, il n'avait pas affecté de parler toujours au nom de Rousseau et il avait paru prétendre