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Mis à jour: 19 juin 2025
[En marge: Le général Rochambeau; ses imprudences
Ainsi, MM. de Fersen et de Vauban, aides de camp de M. de Rochambeau, qui avaient reçu de leur général la permission de suivre la légion de Lauzun dans son expédition, revinrent le 4 au camp de North-Castle et racontèrent ce qui s'était passé. Ils dirent que le corps de Delancey, qu'on espérait surprendre
« Votre père le roi de France, répondit Rochambeau, protège la liberté naturelle que Dieu a donnée
«L'hôte de M. de Rochambeau
Mais cette hypothèse doit être rejetée de suite, car le vicomte de Rochambeau avait servi en Allemagne et en Corse, et d'ailleurs le ton général du journal ne s'accorde en aucun point avec la parenté de son auteur et du général en chef. Enfin le vicomte de Rochambeau a tenu devant York, au récit de Dumas, une conduite qui n'est pas relatée dans ce manuscrit.
Aussitôt commença le mouvement rétrograde de l'armée française. Il s'opéra lentement, le soldat marchant la nuit et se reposant le jour. Rochambeau avait pris les devants pour conférer avec Washington, et il avait laissé au chevalier de Chastellux et au comte de Vioménil le soin de conduire les troupes d'après les sages instructions qu'il leur avait données. On accorda aux troupes un mois de repos
«Nous fîmes dans cette reconnaissance, dit Rochambeau, l'épreuve de la méthode américaine pour faire passer
L'entrevue d'Hartford eut lieu le 20 septembre 1780 entre Washington, La Fayette, le général Knox d'une part, Rochambeau, de Ternay et de Chastellux de l'autre. Rochambeau avait avec lui comme aides de camp MM. de Fersen, de Damas et Dumas. On y régla toutes les bases des opérations dans la supposition de l'arrivée de la seconde division française ou d'une augmentation de forces navales amenées ou envoyées par M. de Guichen. On y décida aussi d'envoyer en France un officier français pour solliciter de nouveaux secours et hâter l'envoi de ceux qui avaient été promis. On pensa d'abord a charger de cette ambassade de Lauzun, que sa liaison avec le ministre, de Maurepas, rendait plus propre
M. de Rochambeau fit alors une reconnaissance de la ligne abandonnée. Il était accompagné de Guillaume de Deux-Ponts. À trois cents pas des redoutes, vers la ville, ils virent un ravin profond de vingt-cinq pieds qui n'était plus défendu, bien qu'il formât autour de la ville une circonvallation naturelle.
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