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Mis à jour: 25 juin 2025
Et toute la maison fut ébranlée de fond en comble... des cris... des trépignements... des clameurs rauques ...me glacèrent d'épouvante... L'homme rugissait... les autres respiraient haletants... puis il y eut un choc qui fit craquer le plancher... je n'entendis plus qu'un grincement de dents... un cliquetis de chaînes... «De la lumière!» cria le terrible Madoc.
C'est que l'homme est fait pour deux existences simultanées, l'une positive et matérielle, l'autre intellectuelle et idéale. Quand sa vie matérielle est calme, sa vie idéale a besoin d'agitation; quand sa vie positive est agitée, sa vie intellectuelle a besoin de repos. Si toute la journée on a vu passer les charrettes des proscripteurs, que ces proscripteurs s'appellent Sylla ou Cromwell, Octave ou Robespierre, on a besoin le soir de sensations douces qui fassent oublier les émotions terribles de la matinée. C'est le flacon parfumé que les femmes romaines respiraient en sortant du cirque; c'est la couronne de roses que Néron se faisait apporter après avoir vu brûler Rome. Si, au contraire, la journée s'est passée dans une longue paix, il faut
Les maisons, cachées sous la feuillée des grands zapotes, des pacaniers et des grenadiers couverts de fruits, respiraient le bien-être et le mystère. J'allai frapper
Le cardinal Louis de Rohan était un homme dans la force de l'âge, d'une imposante figure, d'un noble maintien; ses traits respiraient l'intelligence et la douceur; il avait la bouche fine et circonspecte, la main admirable; son front, un peu dégarni, accusait l'homme de plaisir ou l'homme d'étude; et chez le prince de Rohan, il y avait effectivement de l'un et de l'autre.
Ces paroles respiraient une telle confiance, que Michel Ardan, avec son air déterminé, son aplomb superbe, eût entraîné tout le Gun-Club
Au bout de la rue Campagne-Première, sur les boulevards larges et gris, ils sentirent tous la longueur du chemin parcouru et la tristesse du passage. Ils sentirent que derrière ce cercueil ils avaient franchi les confins de la vie et qu'ils étaient chez les morts. A leur droite, s'étendaient les marbriers et les fleuristes funéraires, des étalages de pots de fleurs et le mobilier économique des tombes, jardinières en zinc, couronnes d'immortelles en ciment, anges gardiens en plâtre. A leur gauche, ils voyaient derrière le mur bas du cimetière se dresser les croix blanches entre les têtes nues des tilleuls et partout ils respiraient, dans la poussière pâle, la mort, la mort banale, régulière, administrée par la Ville et l'
Il la retint dans ses bras, et elle éprouva bientôt la douceur de ce fluide magnétique qui émane d'un coeur ami, et qui a plus d'éloquence que toutes les paroles. Tous deux respiraient plus librement, et comme les yeux de Sabina se fermaient pour savourer cette pure ivresse, il lui dit en l'attirant plus près de lui: «Dormez, chère malade, reposez-vous de vos fatigues.» Elle céda instinctivement
Je t'ai vu devant moi surgir. Tu étais beau. Le soleil au déclin, de la croupe aux sabots, T'empourprait tout entier de sa splendeur farouche. Ardent de ta vitesse et cabré de ta course, Tu dressais, sur le ciel derrière toi sanglant, Homme et cheval, le double effort de ton élan Où le poitrail de bête et la poitrine humaine Respiraient d'un seul souffle et d'une seule haleine. Alors, dans ce ciel rouge où tu m'es apparu, Comme un fatal présage, ô Centaure, j'ai cru Voir monter tout
Ils envisagèrent dès lors la nécessité d'un parti décisif. Plusieurs se présentaient. Vivre en province, ils ne pouvaient s'y résoudre. Ils aimaient Paris. Bien qu'ils ne vécussent pas de sa vie bruyante et affairée, ils respiraient son air, marchaient dans ses rues, coudoyaient sa population.
«Mon trompette?...» demanda Bernard. Personne ne l'avait vu, ni de ceux qui respiraient
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