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Mis à jour: 17 juin 2025
«Ma maman chérie, «Je t'écris pour te montrer ma belle écriture, et pour te dire que je suis bien sage depuis que tu es partie. Mais je ne vais plus au salon. Papa dit que les petites filles doivent rester avec Mademoiselle. Mademoiselle est bien gentille, mais Renée, tu sais, la belle poupée que tu m'as donnée, m'ennuie, et les autres joujoux aussi. Rien ne m'amuse depuis que tu n'es plus l
Et moi, ma mère, dit Renée, je prie Dieu qu'il ne vous écoute point, et qu'il n'envoie
Maxime revint chaque nuit. Il arrivait par le jardin, vers une heure. Le plus souvent, Renée l'attendait dans la serre, qu'il devait traverser pour gagner le petit salon.
C'étaient comme des lits discrets où l'on pouvait dormir et aimer dans le duvet, au milieu de la sensuelle symphonie en jaune mineur. Renée aimait ce petit salon, dont une des portes-fenêtres s'ouvrait sur la magnifique serre chaude scellée au flanc de l'hôtel. Dans la journée, elle y passait ses heures d'oisiveté.
Quand Renée sortait du bain, son corps blond n'ajoutait qu'un peu de rose
Renée, qui voulait prendre au sérieux son rôle de mère et d'institutrice, était enchantée de son élève. Elle ne négligeait rien, il est vrai, pour parfaire son éducation.
Des embarras terribles attendaient Renée et Maxime
Alors Renée n'insista plus. Elle pleura
Renée s'était appuyée au mur. Elle regardait, pâle, les lèvres serrées. Un vieux monsieur vint lui demander galamment pourquoi elle ne dansait pas. Elle dut sourire, répondre quelque chose. Elle s'échappa, elle entra dans la salle
Renée en resta toute tremblante, comme si quelque grand malheur lui arrivait. Elle se récria, la pressa de questions. Pourquoi l'abandonnait-elle, lorsqu'elles s'entendaient si bien ensemble? Et elle lui offrit de doubler ses gages. Mais la femme de chambre,
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