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Mis à jour: 7 juillet 2025
Je lus cette lettre; et elle me parut de la main de Philoclès. Mais on avait parfaitement imité son écriture; et c'était Protésilas qui l'avait faite avec Timocrate. Cette lettre me jeta dans une étrange surprise: je la relisais sans cesse, et ne pouvais me persuader qu'elle fût de Philoclès, repassant dans mon esprit troublé toutes les marques touchantes qu'il m'avait données de son désintéressement et de sa bonne foi. Cependant que pouvais-je faire? quel moyen de résister
C'était bien. Je relisais avec plaisir ce début chaste et bien Moyen
Et puis, je l'ai tant lu jadis, je me suis si bien pénétré de ses habitudes de style, de ses images ordinaires, de son vocabulaire, de son rythme, de ses rimes, de ses manies, que, lisant un nouveau volume de lui, il m'a semblé que je le relisais. Tous ces vers inconnus, je les reconnaissais
Des livres, des livres, des livres... Ce n'est pas que je lusse beaucoup. Je lisais et relisais les mêmes. Mais tous m'étaient nécessaires. Leur présence, leur odeur, les lettres de leurs titres et le grain de leur cuir... Les plus hermétiques ne m'étaient-ils pas les plus chers? Voil
Le soir, quelquefois, quand j'étais seul, je relisais ses vers; et il me semblait que je trempais mes mains, qui sentaient le tabac, dans une eau vive comme celle qui coulait
J'avais mon Shakespeare ouvert devant moi; je lisais, ou plutôt je relisais, pour la dixième fois, Richard III. Mon regard tomba sur le nom de Clarence. Monsieur, lui dis-je, il vous faut un nom distingué comme votre figure, doux et harmonieux comme votre voix: au nom de Shakespeare, je vous baptise du nom de Clarence.
{p.058} Je m'asseyais, avec mon fusil, au milieu des ruines; je tirais de mon havresac le manuscrit de mon voyage en Amérique; j'en déposais les pages séparées sur l'herbe autour de moi; je relisais et corrigeais une description de forêt, un passage d'Atala, dans les décombres d'un amphithéâtre romain, me préparant ainsi
J'avais reçu trois lettres de Ney; elles étaient fort courtes, mais je les relisais souvent. Les expressions n'en étaient point passionnées, mais assez douces et assez aimables pour faire prendre le change, la galanterie étant toujours pour un cœur de femme si près de ressembler
C'est ainsi qu'il convient de revoir les oeuvres en leur lieu pour les apprécier. Je relisais l'autre jour la brochure de M. Guillaume de Schlegel, dans laquelle il compare la Phèdre de Racine et celle d'Euripide; il y exprime admirablement le genre de beauté de celle-ci, ce caractère chaste et sacré de l'Hippolyte, qu'il assimile avec grandeur au Méléagre et
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