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Mis à jour: 9 juin 2025


Quand Râma eut pressé dans ses mains les pieds du grand-prêtre, semblable au feu, comme le roi des Immortels, Indra même, presse des siennes les pieds de Vrihaspati, le céleste précepteur des Dieux, alors ce rejeton magnanime de Raghou s'assit avec le vénérable environné d'une immense splendeur.

«Jadis, fils de Raghou, cette prédiction me fut donnée par des brahmes versés dans la connaissance des signes: «Ton sort, m'ont dit ces hommes véridiques, ton sort, jeune Sîtâ, est d'habiter quelque jour une forêt déserteEt moi, depuis ce temps les devins m'ont tiré cet horoscope, j'ai senti continuellement s'agiter dans mon coeur un vif désir de passer ma vie au milieu des bois.

«Après ces réflexions, fils de Raghou, et quand elle eut encore soupiré mainte et mainte fois, elle retourna avec impétuosité

Quand elles entendirent le magnanime Bharata se lamenter ainsi, les épouses du monarque se répandirent en pleurs dans une profonde affliction. Ce fut alors que le plus vertueux des hommes qui murmurent la prière, Vaçishtha et Djâvâli même avec lui tinrent ce discours au gémissant Bharata, que torturait sa douleur: «Ne t'abandonne pas aux larmes, sage Bharata! le maître de la terre ne doit pas être plaint. Veuille bien t'occuper de ses funérailles avec un esprit calme. Les parents et les amis, qui pleurent d'une affection désolée, ne font-ils pas tomber du ciel par la chute de ces larmes, fils de Raghou, l'homme

«Dès que le noble Sagara fut monté au ciel, digne rejeton de Raghou, ô Râma, le vertueux Ançoumat fut élu comme roi par la volonté des sujets. Ce nouveau souverain fut un monarque bien grand, et de lui naquit un fils, nommé Dilîpa. Ançoumat, prince d'une haute renommée, remit l'empire aux mains de ce Dilîpa, et se retira sur une cime de l'Himâlaya, il embrassa la carrière de la pénitence. Ce meilleur des rois, Ançoumat, que la vertu ceignit d'un éclat immortel, voulait obtenir

Alors ces optimates singes, qui avaient ouï les paroles de Vibhîshana et qui désiraient agir pour le bien de Râma, lui dirent avec soumission: «Il n'est rien qui te soit inconnu dans les trois mondes, fils de Raghou: si tu nous consultes, docte roi, c'est donc par amitié, c'est qu'il te plaît d'honorer nos personnes. Que tes conseillers nombreux, qui savent la raison des choses et sont doués tous de sages conseils, parlent donc maintenant tour

Ensuite le monarque, étouffé sous le poids de sa promesse, manda son ministre Soumantra et lui donna cet ordre, accompagné de longs et brûlants soupirs: «Que l'on prépare en diligence, pour servir de cortége au digne enfant de Raghou, une armée nombreuse, divisée en quatre corps, munie de ses flèches et revêtue de ses cuirasses.

Ensuite, le rejeton vaillant de Raghou choisit dans son carquois le dard nommé la Flèche-du-feu; il envoya ce trait céleste dans la poitrine de Soubâhou, et le rakshasa frappé tomba mort sur la terre.

À ces mots, le fléau des ennemis, ce radieux enfant de Raghou, se mit

Râma, les délices de Raghou, entendit ce langage du Vent et pensa au céleste Garouda, la terreur des serpents. Au même instant, il s'élève un vent impétueux avec des nuages accompagnés d'éclairs.

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