United States or New Zealand ? Vote for the TOP Country of the Week !


Les tribuns, voulant perpétuer leur autorité en la rendant considérable par quelque exploit, arrêtèrent qu'on armerait pour aller reprendre Monaco sur la famille Grimaldi. On enrôla les citoyens; on requit violemment l'argent et les approvisionnements nécessaires. Ce qui restait de gens sensés avertissait que l'entreprise était au-dessus des forces; Ravenstein s'y opposait. La volonté souveraine du peuple fit partir les galères et marcher Tarlatino. Louis écrivait pour ramener les citoyens égarés, pour leur offrir paix et pardon; mais quand les magistrats se réunissaient pour entendre ces invitations paternelles, la populace se livrait

L'enfant réfléchit un moment, et, songeant qu'avant peu il lui faudrait mendier, et qu'elle ne pourrait pour cela trouver un lieu plus convenable que celui se réunissaient de riches dames et des gentlemen attirés par l'attrait du plaisir et les agréments d'une fête, elle se détermina

Les patriciens étaient inscrits dans les tribus, mais ils ne figuraient sans doute pas dans des assemblées qui se réunissaient sans auspices et sans cérémonie religieuse, et auxquelles ils ne reconnurent longtemps aucune valeur légale. Denys, X, I. Tite-Live, III, 31. Denys, X, 4. Julius Obsequens, 16. Tite-Live, V, 12; VI, 34; VI, 39. Tite-Live, VI, 41. Tite-Live, IV, 49. Tite-Live, 48.

Ceux qui n'en ont pas été témoins ne concevront jamais comment tant de classes, de fortunes, de rancunes, d'opinions différentes se réunissaient chaque jour, pour le seul plaisir d'échapper aux souvenirs de terreur qui avaient fini par atteindre les plus ardents révolutionnaires, aussi bien que les plus fidèles de l'ancien régime.

Cette contagion pénétra dans la grande-armée; dès le passage de la Bérézina, Napoléon en avait été averti. On avait remarqué des communications entre des généraux bavarois, saxons et autrichiens. À la gauche, la mauvaise volonté d'Yorck redoubla, elle gagna une partie de ses troupes: tous les ennemis de la France se réunissaient, et Macdonald étonné, venait d'avoir

Les déclamateurs patriotes, plus bruyants et beaucoup moins redoutables que les agents du royalisme, se réunissaient souvent chez un ancien employé du comité de salut public, resté sans fonctions. Il s'appelait Demerville; il parlait beaucoup, colportait des brochures contre le gouvernement, et n'était guère capable de faire davantage. Chez lui se rendaient le Corse Aréna, l'un des membres des Cinq-Cents qui avaient fui par la fenêtre, lors du 18 brumaire; Topino-Lebrun, peintre de quelque talent, élève de David, participant

«Quatre de nos batteries réunissaient leurs forces pour l'accabler; deux autres, battant la mer, empêchaient les pontons de venir sur les flancs de l'Aiguillette pour nous incommoder. L'attaque disposée, tout combiné pour la rendre utile, les batteries firent pendant quarante heures un feu soutenu pour chercher

Le 2 avril fut le jour solennel. De bonne heure, tandis que l'Empereur et l'Impératrice, avec leur suite, sortaient de Saint-Cloud et s'avançaient vers Paris, un grand nombre de privilégiés, comprenant tout ce que la ville contenait de plus élevé par le rang, par la fortune, par la position officielle ou sociale, se réunissaient au Louvre, les uns dans la grande galerie de peinture, les autres dans le salon d'Apollon, transformé en chapelle; les premiers étaient admis

Les grandes familles nobles de Gênes réunissaient volontiers leurs habitations chacune dans un quartier. La race nombreuse des Spinola s'était étendue autour de deux points. Les palais des uns occupaient la place Saint Luc, les autres tenaient le quartier de Lucoli, et les noms de ces deux stations distinguaient les deux branches d'une même tige. Les Spinola de Lucoli furent les premiers

Le repaire de ces brigands était un souterrain au-dessous du club des Jacobins, se réunissaient les ouvriers, les artisans, les porteurs d'eau, et les hommes et les femmes sans état et sans bien. Ils fondèrent d'autres clubs dans les faubourgs et les autres quartiers de la capitale. On n'y était reçu qu'en prouvant son patriotisme. Il y en eut même un dans la rue Jacob l'on n'était reçu qu'en prouvant qu'on n'avait ni feu ni lieu. L