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Mis à jour: 6 juin 2025
«En ce temps-ci, où par bonheur on est las de l'impiété systématique, et où le génie d'un maître célèbre a réconcilié la philosophie avec les plus nobles facultés de la nature humaine, il se rencontre dans les rangs distingués de la société une certaine classe d'esprits sérieux, moraux, rationnels; vaquant aux études, aux idées, aux discussions; dignes de tout comprendre, peu passionnés, et capables seulement d'un enthousiasme d'intelligence qui témoigne de leur amour ardent pour la vérité. À ces esprits de choix, au milieu de leur vie commode, de leur loisir occupé, de leur développement tout intellectuel, la religion philosophique suffit; ce qui leur importe particulièrement, c'est de se rendre raison des choses; quand ils ont expliqué, ils sont satisfaits: aussi le côté inexplicable leur échappe-t-il souvent, et ils le traiteraient volontiers de chimère, s'ils ne trouvaient moyen de l'assujettir, en le simplifiant,
Six ans après l'apparition de Jeanne d'Arc devant leurs murs, les Parisiens, réduits par la guerre, la famine et la peste aux dernières extrémités de la misère, et voyant que le duc de Bourgogne s'était réconcilié avec Charles VII pour chasser les étrangers, appelèrent eux-mêmes les royalistes dans leurs murs. Ceux-ci, conduits par un marchand, Michel Lallier, entrèrent par la porte Saint-Jacques, aux acclamations des bourgeois, pendant que les quartiers Saint-Denis et Saint-Martin s'armaient aux cris de: Vive le roi! «Bonnes gens, leur disait le connétable de Richemont en leur serrant la main, le roi vous remercie cent mille fois de ce que si doucement vous lui avez rendu la maîtresse cité de son royaume: tout est pardonné.» Les Anglais se formèrent en trois colonnes pour étouffer la sédition et se dirigèrent sur les halles et les portes Saint-Martin et Saint-Denis: ils furent repoussés par les bourgeois, qui faisaient pleuvoir des flèches et des pierres sur eux, et obligés de se réfugier
Le bossu, portant pour la vingtième fois la santé au roi: Vous êtes donc bien réconcilié avec Sa Majesté, s'écria Pontis. Il me semblait vous avoir connus mal ensemble. Sans doute; mais c'est fini. Le roi a été clément, j'ai été spirituel; nous avons réussi
Après tout, son escapade nocturne lui avait laissé une impression bienfaisante. Il éprouvait presque la satisfaction d'avoir accompli une bonne action; et cette pensée consolante le soutint, pendant plusieurs jours. Il se sentait réconcilié avec lui-même, grandi dans sa propre estime. Il y songeait, il en rêvait la nuit, il y trouvait une sorte d'appui moral, tout en ayant peur
«Décidément, pensait le Gascon, et cette pensée était le résultat des réflexions qu'il venait de faire tout bas, et que nous venons de faire tout haut, décidément il faut que je me réconcilie avec M. Monck, et que j'acquière la preuve de sa parfaite indifférence pour le passé. Si, ce qu'
Gorenflot écrivit difficilement, c'est vrai, mais enfin il écrivit que Chicot s'était retiré au prieuré, que le chagrin d'avoir été obligé de se séparer de son maître, lorsque celui-ci s'était réconcilié avec M. de Mayenne, avait altéré sa santé, qu'il avait essayé de lutter en se distrayant, mais que la douleur avait été la plus forte, et qu'enfin il avait succombé.
BOYET. Vous mentez, vous n'êtes pas Pompée. COSTARD. Je suis Pompée.... BOYET. Avec la tête d'un léopard sur le genou. BIRON. Bien dit, vieux railleur; il faut que je me réconcilie avec toi. COSTARD. Je suis Pompée, Pompée surnommé le gros. DUMAINE, le reprenant. Le grand.
Ce dernier jour, c'est peut-être demain; c'est demain, du moins, que je me réconcilie avec Dieu. Vous ne me croirez pas! je me fais une fête de l'Extrême-Onction!»
Michel remarqua enfin les avances du majordome et y répondit sans rancune. Depuis qu'il était réconcilié avec sa condition et avec lui-même, il se sentait revenu de sa susceptibilité et pensait, comme son père, qu'aucune impertinence ne peut atteindre l'homme qui possède sa propre estime.
Ceux qui sont salutairement touchés de la bonté, de la patiente longanimité de Dieu, ressentent la componction moins par la crainte des peines que par l'amour de Dieu. Avec cette contrition du coeur qui est la pénitence fructueuse, le péché disparaît. Le gémissement sincère de la charité ou de l'amour nous réconcilie avec Dieu. Si,
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