United States or Jordan ? Vote for the TOP Country of the Week !


Quel bonheur, mon Dieu! Oh! les enfants du roi n’étaient pas nos cousins! Sans compter qu’avec le pain et la pitance de mon bissac, on faisait sur l’herbe, ensuite, un beau petit goûter... Mais il faut que tout finisse!

Ce cheval avec ses fers d’argent et ses clous d’or, ses sonnettes d’argent qui parent son collier, éveille en nous l’idée de ces beaux chevaux arabes si fiers de leur parure. Quoi de plus dramatique que l’antithèse que fait la réponse de l’animal avec l’interrogation du maître: «Et je hennis, mon maître, parce qu’avec la peau du roi de Bosnie le mécréant doit me faire une selle

Pas nécessaire de vous dire qu’avec de telles émotions la verge paternelle ne me faisait plus guère peur. En courant comme si j’avais encore le loup

Et sur mon flageolet, je fis un joyeux trait, qui fendit l’air, ainsi qu’avec son cri aigu, l’hirondelle. Tous, aussitôt, de rire, en se tournant vers moi; et Glodie bât des mains, en criant: Père-grand! M. d’Asnois m’appelle: C’est ce fou de Breugnon... Il me fait signe. Je viens avec mon flageolet, je monte d’un pas guilleret, et je salue...

Mais qu’on n’aille pas croire que ces innovations, bien qu’elles n’eussent de rapport qu’avec un cercle restreint des poètes "patois" comme on disait alors, se fussent introduites dans l’usage commun, sans combat ni résistance. D’Avignon

Notre ami, savez-vous un thème que vous devriez développer, et qui donnerait bien la page la plus "harem" de tout le livre? Le sentiment de vide qu’amène dans nos existences l’obligation de ne causer qu’avec des femmes, de n’avoir pour intimes que des femmes, de nous retrouver toujours entre nous, entre pareilles. Nos amies? mais, mon Dieu, elles sont aussi faibles et aussi lasses que nous-mêmes. Dans nos harems, la faiblesse, les faiblesses plutôt, ainsi réunies, amassées, ont mal

Nous n’avons vu d’autres quadrupèdes que des cochons, des chiens d’une espèce petite, mais jolie, et des rats en grande quantité. Les habitants ont des poules domestiques absolument semblables aux nôtres. Nous avons aussi vu des tourterelles vertes charmantes, de gros pigeons d’un beau plumage bleu de roi et d’un très bon goût, et des perruches fort petites, mais fort singulières par le mélange de bleu et de rouge qui colorie leurs plumes. Ils ne nourrissent leurs cochons et leurs volailles qu’avec des bananes. Entre ce qui en a été consommé dans le séjour

C’est ainsi qu’avec Mathieu, le gentil auteur de la Farandole, nous fîmes connaissance au pensionnat Dupuy. Une fois, je le racontai