Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 16 juin 2025
«Mon Dieu! mon Dieu! dit Monte-Cristo, ce que vous m'aviez laissé soupçonner serait donc vrai! Haydée, vous seriez donc heureuse de ne point me quitter? Je suis jeune, répondit-elle doucement, j'aime la vie que tu m'as toujours faite si douce, et je regretterais de mourir. Cela veut-il donc dire que si je te quittais, Haydée... Je mourrais, mon seigneur, oui! Mais tu m'aimes donc? Oh!
Je tremblais de tout mon corps, mais je ne le quittais pas des yeux. Quelque chose changea dans son visage. Il regarda tout autour de lui, puis il parut mesurer, de la tête aux pieds, la fillette qui s'appuyait
Mme de La Tour dès lors possédait une délicieuse campagne dans la vallée de Montmorency. Au retour de la belle saison, j'y fis quelques voyages. Ce n'était d'abord que pour un jour ou deux que je quittais Paris. Petit
Je connaissais les compagnes que je quittais, et je n'avais pas de peine
«Et vous jouez, maintenant? Toutes les élégances....» me dit en me frappant sur l'épaule, comme je quittais la table, quelqu'un en qui je reconnus Raymond Casal. Depuis des mois je ne l'avais pas vu; mon Dieu! oui, depuis le jour où il m'avait envoyé ses notes sur la Jalousie des sens. Il eut, pour me prononcer cette phrase, un sourire d'imperceptible ironie.
Autrefois, quand septembre en larmes revenait, Je partais, je quittais tout ce qui me connaît, Je m'évadais; Paris s'effaçait; rien, personne! J'allais, je n'étais plus qu'une ombre qui frissonne, Je fuyais, seul, sans voir, sans penser, sans parler, Sachant bien que j'irais où je devais aller; Hélas! je n'aurais pu même dire: Je souffre! Et, comme subissant l'attraction d'un gouffre, Que le chemin fût beau, pluvieux, froid, mauvais, J'ignorais, je marchais devant moi, j'arrivais. O souvenirs! ô forme horrible des collines! Et, pendant que la mère et la soeur, orphelines, Pleuraient dans la maison, je cherchais le lieu noir Avec l'avidité morne du désespoir; Puis j'allais au champ triste
Suspendu entre la terre et le ciel, avide de l'un, curieux de l'autre, dédaigneux de la gloire, effrayé du néant, incertain, tourmenté, changeant, tu vivais seul au milieu des hommes; tu fuyais la solitude et la trouvais partout. La puissance de ton âme te fatiguait. Tes pensées étaient trop vastes, tes désirs trop immenses, tes épaules débiles pliaient sous le fardeau de ton génie. Tu cherchais dans les voluptés incomplètes de la terre l'oubli des biens irréalisables que tu avais entrevus de loin. Mais quand la fatigue avait brisé ton corps, ton âme se réveillait plus active et ta soif plus ardente. Tu quittais les bras de tes folles maîtresses pour t'arrêter en soupirant devant les vierges de Raphaël. Quel est donc, disait,
Toutes choses réglées ainsi, je l'ai vue partir sans angoisse. Il me semblait que je ne la quittais pas: j'allais penser
Ma mère voulut me nourrir elle-même; je ne quittais son sein que pour passer dans les bras de mon père; je respirais la santé avec l'air pur du plus beau climat du monde.
Le mélomane qui m'avait renseigné, et que je ne quittais pas, entra sans façon en pourparlers avec les hommes qui se trouvaient l
Mot du Jour
D'autres à la Recherche