Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 3 juin 2025
Cependant l'aga fit venir l'amiral devant lui, et eut l'insolence de lui demander comment il avait été assez hardi pour venir dans le port de Moka, si près de la Ville Sainte. Middleton lui répondit qu'il n'y était entré que sur les instances et les promesses qu'on lui avait faites, et sur la foi des traités qui subsistaient entre le roi d'Angleterre et le grand-seigneur. L'aga répliqua qu'il n'était pas permis aux chrétiens d'approcher de la Ville Sainte, ni de Moka, qui en était la clef; que le pacha avait ordre de faire esclaves tous ceux qui se présenteraient. Le grand-seigneur n'ordonnait pas sans doute qu'on attirât les étrangers dans des piéges pour les arrêter par trahison. Mais, si les ordres qu'alléguait ce Turc étaient réels, quelle stupidité de la part du divan de Constantinople d'éloigner les commerçans qui apportaient leurs richesses dans ses ports, et qui venaient grossir les revenus du grand-seigneur! car les droits de la douane de Moka étaient évalués
Quant aux griefs qu'alléguait la France, il les traitait de pures chicanes. D'après lui, l'ukase du 31 décembre 1811, dont Caulaincourt se plaignait avec quelque vivacité, était une mesure d'ordre purement intérieur, un acte parfaitement licite; c'était une sorte de loi somptuaire, destinée
Quel serait, suivant lui, le terrain d'entente? Comment faire droit aux griefs respectifs? Le principal de ceux qu'alléguait la France était l'ukase du 31 décembre 1810: sur ce point, il ne serait pas très difficile d'accorder quelques satisfactions de forme
Mot du Jour
D'autres à la Recherche