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Eh bien! s'écria lady G. au bout d'une demi-heure, en lui frappant légèrement sur l'épaule, vous n'êtes pas plus occupé de notre départ que cela? vous me promettez des inventions merveilleuses, des surprises inouïes, et vous êtes l

«Vous me promettez le secretdemanda-t-il d'un accent grave, lui aussi, et, sur sa réponse affirmative: «envers tout le mondeet il souligna ces mots. «Envers tout le monderépliqua-t-elle en soulignant ainsi sa réponse. « bienreprit-il, «que penseriez-vous, si je venais vous dire que j'épouse votre belle-mère?...»

Comme il vous plaira. Vous me le promettez? Je vous le jure. L

Vous promettez et jurez de garder

«Et pourquoi donc me quitteriez-vous, chère amie? dit un jour Mme de Fleurville. Pourquoi ne vivrions-nous pas ensemble? Votre petite Marguerite est parfaitement heureuse avec Camille et Madeleine, qui seraient désolées, je vous assure, d'être séparées de Marguerite; je serai enchantée si vous me promettez de ne pas me quitter. Mais ne serait-ce pas bien indiscret aux yeux de votre famille?

Votre naturel, la franchise de votre caractère, la droiture de votre esprit me plaisent: je sais quelque chose de plus que le commun des hommes: jurez-moi le plus grand secret sur votre parole d'honneur, promettez de vous conduire avec prudence, et vous serez mon écolier.

Maintenant que nous sommes d'accord, reprit Gertrude avec une sérénité de martyre, racontez-moi donc ce qui s'est passé. Wolff transmit tous les détails qu'il avait reçus de M. Arnold. Quand il eut fini: Vous avez raison, mon ami, dit la jeune fille. Mon pauvre père ne pourrait pas quitter la maison. Monsieur Wolff, vous me promettez de le consoler si je meurs bientôt. Ah! Gertrude! vous vivrez!

Hélas! hélas! quelle terrible extrémité! Valentine, aimez-vous mieux dénoncer votre belle-mère? J'aimerais mieux mourir cent fois! oh! oui, mourir! Non, vous ne mourrez pas, et quelque chose qui vous arrive, vous me le promettez, vous ne vous plaindrez pas, vous espérerez? Je penserai

» Il peut, en tombant, nous écraser dans sa chute... Je reconnais que ce ne sera pas de votre faute, général. Votre proclamation est excellente. Vous leur promettez une constitution, la liberté, l'égalité... C'est du machiavélisme!

Si, par hasard, il vous restait quelque souvenir du pauvre Armand.... Silence, duc; soyez discret, et l'on verra ce que l'on peut faire pour vous. En attendant, vous me promettez que mademoiselle verra le régent? C'est chose convenue. En ce cas, adieu, duc, et que la Bastille vous soit légère! Est-ce bien adieu que vous me dites? Au revoir. À la bonne heure!